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urces de base ; la possibilité pour l’individu de
répartir
ses allégeances entre des ensembles culturels et spirituels plus rest
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t celui que j’appelle fédéraliste, qui consiste à
répartir
les tâches d’après leur nature et d’après les grandeurs, les dimensio
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r un point fort, un pôle d’attraction, au lieu de
répartir
de manière égalitaire — et donc partout inadéquate — ces ressources e
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rchisés. Séparer les pouvoirs, les disperser, les
répartir
selon le bon sens, voilà le programme proudhonien de division fédéral
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nouveau les dimensions des tâches à entreprendre,
répartir
en conséquence les pouvoirs de décision, opérer les concentrations de