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compartimentée à l’extrême, mais liée par tout un
réseau
d’échanges spirituels avec ses grands voisins — constitue la raison s
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des groupes, des écoles, qui créent peu à peu des
réseaux
variés d’échanges européens. Rien de tout cela n’est inutile. Et tout
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personnelles et locales soient dissoutes dans un
réseau
toujours plus serré d’interdépendances mécaniques proliférant sans co
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ent. Sur notre continent, la technique a créé des
réseaux
si serrés d’interdépendance économique et industrielle, qu’un conflit
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ant que matérielles ou naturelles, la densité des
réseaux
de communications et de transports et enfin l’unité géographique, cet
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ires d’union. Pourtant l’Europe se fait par mille
réseaux
d’ententes et de fusions industrielles, d’associations culturelles, p
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sources matérielles et naturelles, la densité des
réseaux
de communications et de transports, et enfin l’unité géographique, ce
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e marquée sur le terrain à l’aide de bornes ou de
réseaux
de barbelés et sur les cartes en pointillés méticuleux, mais au contr
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l’aurore des temps, bien avant l’homme ! — que ce
réseau
de fleuves et de rivières qui a si profondément découpé, dentelé, rav
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e côtes pour la surface des terres, ni plus dense
réseau
de fleuves et de rivières, plus complexe entrelacs d’affluents et de
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ances, à un certain jeu dans l’aménagement de ses
réseaux
de relations plus ou moins contraignantes. Au surplus, je ne vois guè
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ent). Et je fais partie d’un très grand nombre de
réseaux
de relations parentales, professionnelles, intellectuelles, spirituel
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ans que soit pour autant décidée la structure des
réseaux
d’échange et groupes de production économiques, ni des institutions s
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impôt. Nous sommes pris, de plus en plus, par des
réseaux
de règles dont le fondement n’est absolument pas la dialectique de la