1 tiques ou philosophiques, il ne cherche pas à les résoudre , à les neutraliser ou à les effacer par les moyens de la logique ou d

2 st moins un acquis à transmettre qu’un problème à résoudre . Est-ce à dire qu’il faille en laisser le soin au seul réalisme des h

3 aux données actuelles et concrètes du problème à résoudre . Il importe toutefois de la mentionner, ne fût-ce qu’à titre de limit

4 tiques ou philosophiques, il ne cherche pas à les résoudre , à les neutraliser ou à les effacer par les moyens de la logique ou d

5 itution fédérale de la Suisse (1848) semble avoir résolu la quadrature du cercle. Loin d’exiger des cantons une renonciation à

6 jorité du peuple et des cantons, ces articles ont résolu le problème à la satisfaction générale depuis cent-quinze ans. On peu

7 eutres, adhérant à la fédération, se trouve ainsi résolu , leur neutralité n’ayant plus lieu de s’affirmer ni à l’intérieur, ni

8 ois que les problèmes à traiter ou les conflits à résoudre dépassent les capacités nationales, concernent l’ensemble européen et

9 t d’infériorité, crée maintenant les moyens de le résoudre  : et cela suppose un effort immédiat d’éducation qui permettra seul a

10 e monde », essaiera de poser clairement, sinon de résoudre .) Je suis donc amené à formuler la thèse suivante : la technique, en

11 sur autre chose que les États-nations. Renoncer à résoudre le problème de l’union, c’est faire, en somme, ce que l’on fait actue

12 titution, de type plus ou moins fédéral, qui peut résoudre une fois pour toutes ce conflit permanent. Il y faut une méthode viva

13 combattants sont prêts pour de nouveaux combats, résolus à y engager le reste de l’Europe avec eux — peut-être le monde entier

14 erait facile de multiplier ce type de problèmes à résoudre au niveau communal, régional, national-fédéral et continental. c) Le

15 Cela paraît certes compliqué, mais le problème se résoudrait facilement si on les administrait séparément. Il y aurait ainsi, une