1 commence aujourd’hui, après une longue période de recherches , d’expériences pratiques et de publications dans le cadre du Centre e

2 stance nécessaire à la réflexion critique et à la recherche objective. Certes, la question européenne n’est pas une question acad

3 t l’objet central de notre enseignement et de nos recherches , il importe de rappeler tout d’abord à grands traits dans quels terme

4 de nations récentes et plus instables, sont à la recherche de quelque union encore mal définie, mais qui a déjà force de mythe,

5 èmes qui pourraient et devraient faire l’objet de recherches , dont je suggère seulement quelques têtes de chapitre. On peut se dem

6 de des grandes firmes industrielles financent des recherches orientées vers l’amélioration technique, mais dont la science pure bé

7 p petites pour se payer chacune un laboratoire de recherches nucléaires, pour ne prendre que cet exemple. Mais qu’on ne dise pas q

8 mble, sans interventions fédérales. (Le cas de la recherche est très différent : dès que ses besoins dépassent les moyens dont di

9 rganisation fédérative de l’Europe se ramène à la recherche d’un optimum pratique entre les maxima possiblement contradictoires (

10 ropéen. Ils requièrent des solutions neuves, à la recherche desquelles concourent économistes, démographes, sociologues, hygiénis

11 avec les plans fédéraux ; relations culturelles ; recherches scientifiques, hygiène, enseignement, échanges universitaires, voyage

12 ntinentaux correspond une politique des « grandes recherches  » : le CERN à Genève, dès 1959, « l’Opération Perdrix blanche » dans

13 ration Perdrix blanche » dans le cercle arctique ( recherches spatiales), dès 1963, en ont été les deux premières illustrations. D’

14 a culture. Débattue et décidée par le Conseil des recherches et de l’enseignement (voir plus loin) cette politique est représentée

15 re des Relations culturelles et le ministre de la Recherche scientifique co-président un Conseil des recherches et de l’enseignem

16 echerche scientifique co-président un Conseil des recherches et de l’enseignement, composé de représentants des sciences naturelle

17 (Paris, 1935) dans lequel Robert Aron résume les recherches d’Arnaud Dandieu sur la « fonction dichotomique » de l’esprit humain.

18 xigences que nos grands-parents n’avaient pas. La recherche du bonheur individuel prime aussi à l’heure actuelle et très nettemen

19 naître successivement le Laboratoire européen de recherches nucléaires ou CERN, la Fondation européenne de la culture, et une sér

20 1957 par l’Université de Lausanne et un centre de recherches lui a été adjoint tôt après. Genève a suivi en ouvrant un Institut d’

21 elle est vide. Le savant qui poursuit une longue recherche apprend qu’un collègue a trouvé. Une nation qui a tendu ses forces vi

22 s spirituelles permettant et favorisant certaines recherches plutôt que d’autres, recherches qui à leur tour devaient conduire à c

23 orisant certaines recherches plutôt que d’autres, recherches qui à leur tour devaient conduire à certaines découvertes plutôt qu’à

24 , se trouvent fortement valorisés comme objet des recherches de l’esprit. Corps et matière sont bien réels aux yeux de l’Occidenta

25 e possible et qui va donner bonne conscience à la recherche appliquée non plus à l’esprit seul, absolu et impersonnel, comme en I

26 e ces dernières années, on a vu se multiplier les recherches scientifiques, les articles de journaux, les volumes et les congrès s

27 r d’exode dans ce cas-là. Pourquoi ? Parce que la recherche atomique n’est pas aux dimensions d’un pays comme la Suisse, ni d’ail

28 sé la création d’un grand laboratoire européen de recherche nucléaire. C’est un message du Prince Louis de Broglie qui a formulé

29 le, vu les finalités (qui n’étaient pas toutes de recherche pure) qu’il y avait dans la science atomique à ce moment-là. Vous voy

30 de points forts : les études internationales, les recherches atomiques à cause de la proximité du CERN — ça, c’est presque un acci

31 du CERN — ça, c’est presque un accident — et les recherches psychologiques. Il y a là de quoi constituer un point fort, un pôle d

32 tement aujourd’hui. La méthode d’enseignement, de recherche , de discussion, à la Sorbonne par exemple, c’était la méthode introdu

33 ns tout ce que vous avez dit sur votre domaine de recherche scientifique. J’avais pris soin de le dire en commençant. Dans ce dom

34 icain, qu’il y aurait à isoler complètement votre recherche scientifique de tout l’ensemble d’une culture. Ça peut marcher pendan

35 ais à la longue ce n’est pas payant, même pour la recherche scientifique. Je défends ici une conception profondément européenne,

36 e ces dernières années, on a vu se multiplier les recherches scientifiques, les articles de journaux, les volumes et les congrès s

37 égionaliste. Au-delà de ce considérable effort de recherche scientifique et de renouvellement des conceptions de base se développ

38 orme en acrobatie toute participation réelle à la recherche et compromet toute l’efficacité de l’enseignement. Remède fédéraliste

39 rsité digne du nom, ménageant des possibilités de recherches très spécialisées et de travaux interdisciplinaires, l’analyse condui

40 trangères et la politique économique ou certaines recherches scientifiques) sans léser les droits essentiels et l’autonomie des un

41 es ». Car désormais « le progrès consiste dans la recherche des meilleurs engins de destruction ». Les ministres cyniques ou prud

42 un de ces domaines de la culture. En sciences, la recherche nucléaire et les moyens de prévenir l’exode des cerveaux (résultante 

43 e (unité d’habitation, commune, région, groupe de recherches ) et les moyens requis pour les constituer ; 2° à chercher le niveau d

44 « nationales » de régions ouvre un autre champ de recherches . Il s’agirait ici de la réunion de régions libérées de leur État-nati

45 plupart du temps inconscientes. Complexe d’Œdipe, recherche d’un type de conjoint qui est (sans qu’on le sache) celui de la mère,

46 pour la première fois, grâce à ce savant et à ses recherches « scientifiques », on osait parler du sexe ! Aujourd’hui on parle du

47 ulaient l’union de l’Europe, un lieu, un foyer de recherche , un foyer de création d’institutions européennes. Nous avons créé tou

48 ieu à la création du CERN — le Centre européen de recherche nucléaire, le plus grand laboratoire européen, qui a permis de garder

49 aine qui se lance, avec toute sa génération, à la recherche d’un humanisme socialiste de type marxiste ou chrétien. À l’entendre