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pourrait définir l’attitude fédéraliste comme un
refus
constant et instinctif de recourir aux solutions systématiques, aux p
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ns le Marché commun, elle ne saurait justifier ce
refus
par des motifs juridiques et des prétextes tirés de la « démocratie d
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e ces chiffres ne suffisent pas à justifier notre
refus
de participer au Marché commun, et encore moins notre participation à
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ur son pays, il n’a pas le droit d’en conclure au
refus
du Marché commun, mais il a le devoir de freiner l’expansion de l’ind
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il est grand temps que nous cessions d’opposer un
refus
quasi automatique à toutes les propositions d’union un peu hardies, s
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de plus. (Il se cachent aujourd’hui derrière les
refus
gaulliens. Demain, ils trouveront d’autres prétextes.) Trop petits e
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upart des cas, la résistance ne provient pas d’un
refus
motivé de nos positions régionalistes, mais d’un ensemble de réflexes
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s raisons psychologiques s’ajoutent d’ailleurs au
refus
instinctif du saut qualitatif et révolutionnaire, pour favoriser cett
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ette façon de balayer l’expérience des autres, ce
refus
de tenir compte des données de fait : goûts, situation, milieu social