1 , contre les empiètements de l’autorité centrale. Rien d’étonnant si une telle pratique est mal connue ou mal comprise à l’e

2 ortunisme lâche, qui tolère tout et ne s’oppose à rien . Le fédéralisme s’oppose en fait à deux tendances très puissantes dan

3 nt le même état d’esprit que ceux qui n’admettent rien d’autre que leur manière de vivre locale, définie par la majorité loc

4 ue je viens de caractériser très brièvement. Mais rien ne nous autorise à juger que le fédéralisme, déjà pratiqué quasi jour

5 s force est bien de reconnaître que la Suisse n’a rien de comparable à la musique flamande de la Renaissance, à la peinture

6 ur Honegger et un Frank Martin de nos jours, mais rien qui vraiment compte dans l’entre-deux, cela ne fait pas une tradition

7 portunisme lâche qui tolère tout et ne s’oppose à rien . Le fédéralisme s’oppose en fait à deux tendances très puissantes dan

8 nt le même état d’esprit que ceux qui n’admettent rien d’autre que leur manière de vivre locale, définie par la majorité loc

9 nous rappelons que les conquêtes sociales ne sont rien , si elles n’aboutissent pas à rendre chaque individu plus libre dans

10 érateur » (potentat ou État), n’est confirmée par rien dans notre histoire, et tout la réfute en pratique. Si un despote ou

11 sudistes de l’Amérique), les vainqueurs n’ont eu rien de plus pressé que de rendre aux vaincus leur pleine égalité de droit

12 on s’aperçoit que la politique fédéraliste n’est rien d’autre que la politique par excellence, c’est-à-dire l’art d’organis

13 eu à peu des réseaux variés d’échanges européens. Rien de tout cela n’est inutile. Et tout cela qui paraît si dispersé, si p

14 énérales, ni les délires de conquête n’ont jamais rien construit en Europe. Seules, les prises de conscience dramatiques de

15 bien définies et distinctes. Mais ceci ne change rien au principe de la méthode indiquée ci-dessus, et qui consiste à disti

16 r de monnaies en y perdant à chaque guichet, sans rien déclarer à personne. Des milliards d’heures de vie active ou de loisi

17 ant que celles-ci ne conservent ou n’introduisent rien au contraire à la Constitution fédérale et à la Charte des droits de

18 relative, pour autant qu’elle subsiste, n’est en rien garantie (ni d’ailleurs menacée) par leurs voisins et frères, mais se

19 res sont vaines. On ne réfute pas l’obscurité, et rien ne sert de maudire la nuit : mieux vaut allumer une chandelle, comme

20 ités et le coût de l’opération. Ils concluent que rien n’est possible dans l’état actuel des choses. Et leur déni traduit ex

21 C’est que finalement notre crise du mariage n’est rien de moins que le conflit de ce mythe et de la morale chrétienne, donc

22 nter ? Et enfin, comment réussir son mariage, car rien n’est perdu pour qui veut comprendre ? Nous avons demandé à Denis de

23 ment type) se révèle, en dernière analyse, n’être rien d’autre que la cité de Genève ! Un peu plus tard, le Schaffhousois Je

24 e entre ou non dans le Marché commun n’y changera rien . (À moins que notre isolement n’entraîne un retour à la misère nature

25 ion ou en train et que ces marches ne servaient à rien … Pour ma part, j’observais que le colonel prenait grand soin de ne pa

26 nt que nous avions subi au préalable n’était pour rien dans la facilité avec laquelle nous venions de couvrir une étape de 2

27 rtition de mainte toile par un éclair irrégulier. Rien de gratuit, tout est lisible et composé, comme un paysage qu’on recon

28 xemplaires de colons et de soldats, qui n’avaient rien de bien attirant. Mais aujourd’hui, le cinéma leur fait voir de leurs

29 mange et je puis méditer à loisir. À mon volant, rien de pareil : tout ce que je peux lire, ce sont des chiffres, des ordre

30 ons de vie plus ou moins uniformes. La Suisse n’a rien de tout cela, mais elle a le régime le plus stable de l’Europe. Ce pa

31 ement. Orson Welles prétend que les Suisses n’ont rien inventé à part la pendule à coucou mais c’est chez eux que l’on trouv

32 forte densité de prix Nobel des sciences, pour ne rien dire de cette galaxie de génies qui va de Paracelse à C. G. Jung, en

33 aires géographiques ne se recouvrent pas et n’ont rien de comparable. Prenez mon cas : Français de langue, Européen par la c

34 ’a léguée le siècle dernier : la région. Il n’est rien dont les sociologues d’aujourd’hui s’occupent avec plus de passion en

35 e de leur fonctionnement. Mais surtout, on ne dit rien des problèmes vivants et réels qui se posent à la cité et à l’État, e

36 it resté à La Chaux-de-Fonds et nous n’en aurions rien su ; il aurait continué à s’appeler Fritz Sauser. Mais il est parti d

37 ionnelle juxtaposées, sans lien organique et sans rien à se dire entre elles. Il faudrait que l’Université devienne ou redev

38  : le financement, c’est un préalable, on ne fait rien sans ça. L’organisation aussi. Mais croire qu’un climat, c’est un fin

39 re en commençant. Dans ce domaine, je ne conteste rien du tout. Mais je vous signale le danger, qui serait un danger un peu

40 e est de s’en féliciter, d’affirmer qu’on ne peut rien y changer, que c’est là-dessus qu’il faut bâtir, et d’appeler ça du r

41 ons sont immortelles (en tout cas la leur !), que rien d’autre n’est donc possible, et que d’ailleurs l’État, ou la nation,

42 t leur souveraineté absolue, dont ils refusent de rien déléguer à une autorité supranationale, fédérale, et alors ils seront

43 uée le siècle dernier : — la région.31 Il n’est rien dont les jeunes sociologues s’occupent avec plus de passion en Europe

44 mesures nécessaires à l’union. Mais elle ne peut rien faire de plus. On l’a bien vu lors de la Première Guerre de Suez… 2°

45 ueillir ? Non, même « dissociée » économiquement, rien n’empêcherait la Suisse de cultiver sa vocation particulière, qui est

46 ticulière, qui est d’ordre politique et culturel, rien ne pourrait empêcher les Suisses de toutes les régions de continuer à

47 tion de la main-d’œuvre, etc. Mais ils ne peuvent rien de plus. (Il se cachent aujourd’hui derrière les refus gaulliens. Dem

48 e à la vie civique, — les États-nations ne feront rien pour nous unir. Ils ne le veulent pas, ils ne le pourraient pas. Et i

49 et de révolution dans l’ordre créateur. III Rien de plus spécifique de l’Europe — depuis l’aurore des temps, bien avan

50 es, jardin du monde, fille des fleuves ! IV Rien de plus fluvial que la Suisse. Si l’Europe est la terre des ports, où

51 tée librement par une communauté d’hommes libres. Rien n’est authentiquement européen qui ne soit d’abord d’un pays. D’un pa

52 s du continent et les quatre points cardinaux. Et rien en Suisse n’est suisse avec plus de robustesse que cette rivière germ

53 e sensibilité. Pas question de s’y préparer ni de rien combiner à l’avance : la découverte de l’itinéraire exige en vérité s

54 ser les mêmes frontières à des réalités qui n’ont rien en commun, totalement hétérogènes, comme les réalités culturelles, éc

55 ur former la base d’une fédération ? Je n’en sais rien . Nous devons y travailler d’une manière active. Sur la question préci

56 n et réserve réciproques). Sa pensée n’a pour moi rien d’actuel et je doute qu’il en aille autrement pour mes cadets. Je ser

57 tant pis pour nous. Mais non : « le temps ne fait rien à l’affaire », l’actualité pas davantage, et son absence n’ôte ou n’a

58 é pas davantage, et son absence n’ôte ou n’ajoute rien à la valeur d’une œuvre pour qui sait la comprendre. (Pour les autres

59 pensait — et disait à ses proches — qu’il ne doit rien rester d’un bon discours, sauf la loi qu’il a fait voter. Quelle que

60 ’une espèce de panique… » Or c’est lui seul (mais rien ne l’indique dans le texte) qui a pris l’initiative de secourir les b

61 accepta de présider le premier Comité. Reste que rien n’eût été fait sans le Souvenir, ni sans l’impulsion créatrice de son

62 n Souvenir, la moindre note d’antimilitarisme, et rien n’est dit non plus contre la guerre en soi (sinon par la violence des

63 t-ce que Dunant, écarté de l’action, n’ayant plus rien à espérer ni à ménager, s’abandonnerait au zèle amer du censeur des t

64 ’immoralité politique. » On y apprend à ne voir «  rien de plus beau, rien de plus grand, rien de plus noble que les empire r

65 ue. » On y apprend à ne voir « rien de plus beau, rien de plus grand, rien de plus noble que les empire rapaces et sanguinai

66 ne voir « rien de plus beau, rien de plus grand, rien de plus noble que les empire rapaces et sanguinaires d’Alexandre et d

67 akob Burckhardt, Nietzsche, ou Georges Sorel, n’a rien pu contre le désastre où devaient s’abîmer tant de millions de jeunes

68 érents tout ce qui aura été séparé et défini ; ne rien laisser dans l’indivision.49 Proudhon entend réduire les attributio

69 rasme gagne la nation devenue hydrocéphale. « Ne rien laisser dans l’indivision » : grande maxime, qui conteste un monde :

70 t Land badois en République fédérale d’Allemagne. Rien au monde ne saurait empêcher les citoyens, habitant cette région écon

71 nir s’il y est appelé. C’est son mystère, qui n’a rien de littéraire, de romantique, le mystère de sa réalité différente. Le

72 raie vie, c’est la vie quotidienne et qu’elle n’a rien de terne et d’ennuyeux (si les gens ne sont pas eux-mêmes ternes et e

73 éories fédéralistes. À quoi je lui ai répondu que rien n’était plus facile. Car pour moi, le couple est une espèce de banc d

74 crivain. Car ce qu’il appelle engagement ce n’est rien moins que de tirer les conclusions pour la cité de ce qu’il appelle l

75 cistes italiens et nazis qui ne respectaient plus rien finalement que la force. Quand on dit, il faut tout casser et après o

76 peut être séparé, ou comme disait Proudhon, « ne rien laisser dans l’indivision ». C’est là, me diriez-vous, vision de la p

77 de l’amour me conduit au fédéralisme. J’ai dit : rien n’est plus facile. Le mariage, c’est le banc d’essai du fédéralisme.