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titudes de pensée que la culture créatrice. On ne
sauvera
pas l’un sans l’autre. c. Rougemont Denis de, « Le fédéralisme et
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s tombaient, mais qu’unis ils pouvaient à la fois
sauver
leurs libertés locales et agir comme une seule nation au niveau des r
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ie siècle, ni même celle de 1848 qu’il s’agit de
sauver
aujourd’hui, mais bien la Suisse réelle de la seconde moitié du xxe
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user au nom d’un mythe passéiste le seul moyen de
sauver
la Suisse réelle. Ou c’est courir à l’aventure certaine, au nom d’une
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majorité. Certes, je crois qu’une Europe fédérée
sauverait
seule à long terme nos chères diversités et nos intérêts bien compris
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e que nous avons à donner, et non pas seulement à
sauver
; ce que l’Europe est en droit d’attendre d’une Suisse qui fait parti
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plus, d’être transformés par l’homme spirituel et
sauvés
, ainsi que l’avait déjà dit saint Paul, dont je rappelle ici une décl
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re transformer hardiment, illuminer el finalement
sauver
: c’est cela que la Nature attend de l’homme, une action qui la maîtr
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que cela : elle a fait son union précisément pour
sauver
ses diversités. Et ses vingt-deux petits États n’ont délégué à un pou
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sans propagande, qu’il faut unir l’Europe pour la
sauver
mais aussi pour servir le Monde. La connaissance des réalités contemp
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sse s’est faite au-delà de ses cantons, mais pour
sauver
ce qu’on pouvait de leur autonomie, précisément : sans l’union, cette
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i prodigieux de faire le mal qu’il ne pourra être
sauvé
de lui-même, au milieu d’épouvantables désastres, que par une interve
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femme : « Je suis sage de toi », le mariage sera
sauvé
! Qui l’osera ? al. Rougemont Denis de, « [Entretien] Le mariage