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d nous sortons de notre commune originelle. Cette
situation
particulière est très conforme au génie de la culture occidentale, ca
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pos, le dédain pour l’invention romanesque ou les
situations
exceptionnelles, et l’intérêt presque exclusif porté au drame moral d
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ndiale ont placé les nations européennes dans une
situation
comparable à bien des égards à celle des cantons suisses au lendemain
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étroits, par-delà les frontières étatiques. Cette
situation
mouvante, absolument nouvelle, fait l’objet des discussions politique
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hèse, et, faisant retour en arrière, examinons la
situation
telle qu’elle se présentait aux environs de 1963, lorsqu’on se mit à
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térieures qui ont la souveraineté atomique. Cette
situation
aussi dangereuse qu’humiliante indique clairement ce qu’il nous reste
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fédéraliste de respecter autant que possible les
situations
spéciales et locales. Les compétences du pouvoir fédéral s’exercent d
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io » dont ils tirent un répertoire inépuisable de
situations
comiques ou cyniques. Et tout cela ne fait que trahir le tourment inn
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simple et frappante résumant un nombre infini de
situations
plus ou moins analogues, permettant de saisir d’un coup d’œil certain
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résident de la Confédération, février 1961). « La
situation
internationale actuelle, économique, politique et militaire a, en fai
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ardis comme de nos plus humbles désirs définit la
situation
proprement humaine de l’homme. Cet échec essentiel produit en somme l
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uestions qui résultent de l’examen objectif de la
situation
, et nous sommes bien certains qu’il révélera de la sorte la nécessité
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t vicieux. J’ai proposé une méthode d’analyse des
situations
pour savoir quand il y a lieu de se plaindre d’un exode, quand — je m
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vos espérances de mai 1948, comment jugez-vous la
situation
européenne actuelle ? Si l’on entend par espérance l’attente fervente
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larifier un terme que le problème européen et nos
situations
nationales nous amènent à utiliser quotidiennement. Mais pas du tout
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poser quelques définitions, puis les relier à des
situations
contemporaines choisies dans les domaines les plus variés et les moin
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s. Je propose d’appeler problème fédéraliste une
situation
dans laquelle s’affrontent deux réalités humaines antinomiques, mais
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qui rassurent, d’enracinement et de mobilité… La
situation
de l’homme qui veut à la fois sa vie privée et une vie sociale est ho
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vie privée et une vie sociale est homologue de la
situation
de la région qui veut à la fois son autonomie et sa participation à u
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ce de la communauté ? L’analyse fédéraliste d’une
situation
part du concret, en ce sens que d’abord elle considère la nature d’un
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orter, non pour servir ou plaire, ont produit une
situation
de crise dont l’acuité se mesure notamment par le chiffre élevé des s
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idée, aurait pu dire Victor Hugo. Je vois ici la
situation
classique qui définit une vocation. On court après un but habituel et
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ux acteurs — les conjoints — et ce qui tient à la
situation
en soi, qu’est le deuxième mariage. Faute de matériel, je me vois réd
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efus de tenir compte des données de fait : goûts,
situation
, milieu social. On balaye avec un beau mépris les objections des autr
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ce qui tient aux « acteurs » et ce qui tient à la
situation
. Ce qui tient aux acteurs ce sont les difficultés inévitables de la v
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rofessionnelles, etc. Quant à la difficulté de la
situation
elle tient en une phrase ou un fait évident et qui sera ressenti plus
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y avions peut-être un peu plus de mérite, car la
situation
extérieure n’était visiblement pas aussi grave que celle qui prévaut