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se à rien. Le fédéralisme s’oppose en fait à deux
tendances
très puissantes dans le monde occidental moderne : le centralisme uni
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ules locales jalousement closes, manifestent deux
tendances
incompatibles de l’esprit. Car en réalité, ceux qui n’admettent aucun
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ythe, en Afrique noire et dans le monde arabe. La
tendance
générale qui se dessine dans les années 1945 à 1950 va donc aux grand
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i marquerait le triomphe exclusif d’une seule des
tendances
contradictoires qui composent l’esprit européen, je veux dire la tend
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qui composent l’esprit européen, je veux dire la
tendance
à l’unité abstraite, l’esprit de géométrie d’un planificateur supposé
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a sorte les études de méthode et d’évaluation des
tendances
politiques vers l’intégration, réunies dans le nouvel ouvrage qu’il p
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se à rien. Le fédéralisme s’oppose en fait à deux
tendances
très puissantes dans le monde occidental moderne : le centralisme uni
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lules locales jalousement closes manifestent deux
tendances
incompatibles de l’esprit. Car en réalité, ceux qui n’admettent aucun
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ès ayant pour premier objectif de surmonter cette
tendance
défensive, faussement traditionnelle et autarcique, inutile d’insiste
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narcho-syndicalisme. Ni l’une ni l’autre des deux
tendances
n’a jamais été isolée à l’état pur et portée dans la réalité à son co
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plan européen, nous allons voir se dessiner deux
tendances
toutes semblables à celles que je viens de signaler pour la Suisse. N
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itable n’est ni dans l’une ni dans l’autre de ces
tendances
, mais bien dans leur coexistence acceptée, dans leur dialogue, dans l
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on (économie d’énergies) capable de surmonter les
tendances
anarchiques-autarciques des individus, groupes, régions, capable donc
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t reportée aux frontières de l’union la somme des
tendances
autarciques-impérialistes dont une union forcée (uniformisation) aura
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quant à sa sécurité et de décourager ses propres
tendances
agressives. En revanche, l’Europe fédérée ne saurait conclure une all
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e également à concevoir la nécessité vitale d’une
tendance
à déconcentrer et à distribuer le pouvoir, afin de l’empêcher par tou
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ichir cet équilibre ? Ou au contraire, comme on a
tendance
à le croire dans nos élites humanistes, serait-elle un facteur de dés
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réunir avec des politiciens et des économistes de
tendances
plus modérées, en une série de congrès spectaculaires, Montreux, La H
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taté qu’ici au Québec, on appelait fédéraliste la
tendance
unitaire par opposition aux libertés d’un Québec autonome. Or le fédé