1
fois aux besoins nouveaux d’union, et aux besoins
traditionnels
d’autonomie de nos peuples, besoins qui semblent contradictoires, mai
2
te, il s’agira de repérer la nature des obstacles
traditionnels
de l’union, et d’essayer de mieux voir, de la sorte, pourquoi certain
3
de surmonter cette tendance défensive, faussement
traditionnelle
et autarcique, inutile d’insister sur ce point. Mais c’est une autre
4
aux droits acquis, fussent-ils les souverainetés
traditionnelles
des États, de plus en plus incompatibles avec les libertés de la pers
5
uvent réunies par la Suisse, d’ailleurs gardienne
traditionnelle
des valeurs et réalités d’intérêt commun pour l’Europe. De même qu’au
6
rsonne, se trouve ainsi confirmée dans son statut
traditionnel
de neutralité, dont nous avons vu par ailleurs qu’il a perdu ses anci
7
jections du scepticisme invétéré (ou faut-il dire
traditionnel
?) qui tendait à paralyser non seulement toute initiative de la Suiss
8
e nous des nôtres, s’accorderait avec la vocation
traditionnelle
de la Suisse. Mais se fera-t-elle ? Voilà qui dépend de nous aussi. C
9
nts, des ressources matérielles et du mode de vie
traditionnel
. Mais cette réussite exemplaire suppose d’inévitables sacrifices. Ell
10
arroge ainsi tous les pouvoirs des grands empires
traditionnels
jusqu’au Saint-Empire médiéval, bien qu’il n’en ait ni la pluralité e
11
e et longtemps défendit contre Berne ses libertés
traditionnelles
. Il illustre au départ torrentueux l’esprit des communes médiévales,
12
ond l’antinomie entre la culture générale au sens
traditionnel
et l’acquisition d’un savoir professionnel souvent d’autant plus rent
13
rrières ne sont, le plus souvent, que des utopies
traditionnelles
intéressées… Ce qu’on désigne sous le nom de « bravoure » s’allie trè
14
eu étudiant. C’est très supérieur aux fiançailles
traditionnelles
qui fortifiaient par des obstacles artificiels — défense de cohabiter