1
rique simpliste, et par-là même tyrannique. (« La
tyrannie
est le souverain désordre », disait Vinet.) Le fédéralisme veut la di
2
ique, simpliste, et par là même tyrannique. Or la
tyrannie
est le souverain désordre, comme le disait Vinet. Le fédéralisme veut
3
hant dans le désordre, lequel prépare toujours la
tyrannie
. À l’homme considéré comme soldat politique, totalement engagé mais n
4
er les maladies qui la menacent en permanence. La
tyrannie
de l’État et de ses mécanismes, l’anarchie individualiste (ou impéria
5
n, soit de la guerre, soit de la paix, soit de la
tyrannie
des choses, soit de la liberté de notre action. Mais surtout, par ses
6
s. Dans l’Europe fédérée de demain, libérée de la
tyrannie
de l’État-nation, les régions vont très rapidement se dessiner, s’org
7
rs autres. Dans l’Europe de demain, libérée de la
tyrannie
des frontières d’état civil imposées aux réalités économiques, les ré