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e, qui est la libre union dans la diversité, et l’
unification
totalitaire, centraliste, jacobine, qui est réduction forcée à l’unif
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peu près au petit bonheur les termes d’union et d’
unification
, d’intégration et de fédération, d’union « plus étroite » (plus étroi
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s un champ d’études utiles, car chacun voit que l’
unification
de l’Europe, à supposer qu’elle soit praticable, ne serait conforme n
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cevable, essentiellement différente de celle de l’
unification
et de celle des alliances entre souverains, c’est la solution fédéral
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t de ses termes de base, tels que : unité, union,
unification
, ou encore nation, souveraineté nationale (au xviie siècle) et, plus
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rale, qui est libre union dans la diversité, et l’
unification
totalitaire, qui est réduction forcée à l’uniforme. Ces images, qui s
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impérialistes. Ceux-ci ne peuvent conduire qu’à l’
unification
forcée, caricature de l’union véritable. Deuxième principe. Le fédér
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rale, qui est libre union dans la diversité, et l’
unification
totalitaire, centraliste, jacobine, qui est réduction forcée à l’unif
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assimilées aux « privilèges ») et en faveur d’une
unification
européenne. Là encore, la résultante des forces antagonistes pointe v
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es des principales méthodes d’union possibles : —
unification
économique transposée au plan politique, — alliance d’États souverain
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même de l’Empire d’Occident, l’idée d’union sans
unification
, qui deviendra l’idée fédéraliste. Lorsque plus tard les nations s’ab
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dans les projets d’Europe unie « une politique d’
unification
qui vise à mêler les peuples d’Europe pour éliminer peu à peu les car
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e des industriels suisses accuse la « politique d’
unification
» de vouloir « mêler les peuples d’Europe ». Je rappelais tout à l’he
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f. Laissons de côté les héritages du passé dont l’
unification
prendrait trop de temps, demanderait trop d’énergie, et soulèverait t
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ngrès de La Haye — conduirait progressivement à l’
unification
politique de l’Europe. Cet espoir, ils l’ont reporté ensuite sur les
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tionnaire tenait le fédéralisme pour un système d’
unification
intégrale, sans respect pour les diversités et les autonomies des pay
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». Laissons de côté les héritages du passé dont l’
unification
prendrait trop de temps, demanderait trop d’énergie et soulèverait tr
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Schumann pour ses services rendus à la cause de l’
unification
de l’Europe. Ce prix, qui lui sera décerné officiellement à Bonn en f
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1949-1950 comme la contrepartie, sur le plan de l’
unification
européenne, des efforts économiques qui étaient faits à Luxembourg pa