1 hilosophie. Éditeur à Paris dès 1931. Lecteur à l’ Université de Francfort 1935-1936. Cours à l’École libre des hautes études de Ne

2 ducation explique et justifie l’existence de sept universités , de deux écoles polytechniques, et de plusieurs dizaines d’instituts

3 s se suffise à elle-même dans tous les domaines : université , radio, publications, etc. Et plutôt que de reconnaître que cela n’es

4 e « chaire européenne » a été créée en 1957 par l’ Université de Lausanne et un centre de recherches lui a été adjoint tôt après. G

5 vaut souvent la grandeur. On compte en Suisse une université pour 750 000 habitants, contre une pour deux à trois millions dans le

6 des anciens élèves de l’École polytechnique de l’ Université de Lausanne, lors du congrès mondial de ce groupement, le 18 septembr

7 c’est la santé de la culture, je pense aussi aux universités . La plus célèbre des anciennes universités, c’est la Sorbonne. Eh bie

8 si aux universités. La plus célèbre des anciennes universités , c’est la Sorbonne. Eh bien, je me rappelle le professeur Étienne Gil

9 onque ; si un de ses enfants devient professeur d’ université , on ne va pas dire que c’est un exode de cerveau, puisque le village

10 le village n’a pas les dimensions nécessaires à l’ université . Mais prenez maintenant cette université qui est bien à la taille du

11 ires à l’université. Mais prenez maintenant cette université qui est bien à la taille du canton (l’activité et la communauté étant

12 endant le Moyen Âge où une ville achetait toute l’ université d’une autre ville, ou toute une faculté, ou un studium — professeurs

13 t faire des lois terribles contre les « voleurs d’ universités  » : ils étaient punis de mort — alors là, il s’agira bel et bien d’un

14 . Je voudrais dire encore un mot sur le rôle de l’ Université , des universités dans la création de ces pôles d’attraction, de ce cl

15 re encore un mot sur le rôle de l’Université, des universités dans la création de ces pôles d’attraction, de ce climat intellectuel

16 on, de ce climat intellectuel. Il me semble que l’ Université est mieux placée que n’importe quel autre corps ou profession ou ense

17 cette création intellectuelle. À condition que l’ Université ne soit pas uniquement la juxtaposition de quelques écoles de formati

18 ans rien à se dire entre elles. Il faudrait que l’ Université devienne ou redevienne le lieu vivant de création intellectuelle et d

19 ur le fond. Je vais lâcher le mot : il faut que l’ Université redevienne le lieu de contestation. Mais attention : contestation n’e

20 tre. Contestation, c’est un terme qui est lié à l’ Université depuis sa création, au xiie siècle. Voilà une chose qu’on oublie com

21 s de la société de l’époque. Donc : contestation. Université engagée si vous voulez, pour prendre un autre mot qui a été à la mode

22 uis le Moyen Âge, on ne s’était autant occupé des universités que depuis qu’on a découvert qu’il fallait les réformer. Je souhaite

23 ut je souhaite qu’on ne s’en tienne pas là. Car l’ Université , à mon sens, a été, doit redevenir et doit rester le lieu par excelle

24 se pas — ce sera mon dernier mot — en dehors de l’ Université et contre elle, mais dans les cours — je ne dis pas dans tous les cou

25 1968)w Il y a vingt-et-un ans, dans cette même Université , avec une poignante éloquence, Winston Churchill appelait la création

26 s années, on put entendre le recteur d’une de nos universités cantonales condamner le principe d’une subvention fédérale « parce qu

27 autonomie. Quelques exemples : 1° Le problème des universités résulte d’un couple d’exigences contradictoires, qui paraissent exclu

28 hitecturales : prenez les conflits actuels dans l’ université , en tous pays et tous régimes politico-économiques : ils ont pour mot

29 te : commencer par réévaluer les dimensions d’une université digne du nom, ménageant des possibilités de recherches très spécialis

30 nisée lors du fameux colloque de Caen, en 1966. L’ université fut une commune libre au Moyen Âge. Toute vie civique, depuis la cité

31 le : « L’enseignement de l’histoire est, dans les universités , les lycées, les pensionnats, les séminaires et autres institutions e

32 problème donné (urbanisme, participation civique, Université , par exemple), il nous faut apprendre : 1° à déterminer les éléments

33 tent, ou sont souhaitables, entre l’économie et l’ Université , ou entre les formules de participation civique et l’urbanisme : il s

34 t enthousiaste était venu entendre jeudi soir à l’ Université McGill. Le sujet de cette conférence, qui était placée sous les auspi

35 sous les auspices du Département de français de l’ Université McGill et du Consulat général de Suisse, répondait d’ailleurs on ne p

36 Sartre quand celui-ci prêche la destruction de l’ Université et refuse de dire ce qu’il y mettra à la place. C’est de la démagogie

37 ent. Il y aurait ainsi, une Agence européenne des universités , une autre pour le charbon et l’acier, et ainsi de suite. Alors qu’un

38 réé un Institut universitaire — qui est lié à une université — qui se consacre à des études d’intérêt largement européen : économi

39 a conclusion de sa conférence du 25 septembre à l’ Université McGill, on sent que la place qu’il accorde, par exemple, comme valeur