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omplexité du réel, il la respecte, il croit à ses
vertus
, il en épouse la loi, bref, il l’aime. D’autre part, le fédéralisme r
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omplexité du réel, il la respecte, il croit à ses
vertus
, il en épouse la loi, bref, il l’aime. D’autre part, le fédéralisme r
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u pas tyrannique au plan politique ; et enfin les
vertus
sont les mêmes dans les deux cas : liberté et responsabilité composée
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e ne serait pas une simple question de tolérance,
vertu
négative et qui naît le plus souvent du scepticisme, mais plutôt de p
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ent du scepticisme, mais plutôt de participation,
vertu
positive et qui naît d’une juste ambition. Chaque nation serait mise
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é subie, à l’origine et dont nous fîmes peu à peu
vertu
à partir du xixe siècle ; nous avons réussi notre fédéralisme ! Cont
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ue. Pourquoi parler toujours de cette neutralité,
vertu
qui ennuie et pratique négative, quand nous avons à proposer une expé
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ventuels succès… à l’étranger ! D’autre part, les
vertus
civiques sans lesquelles une solide fédération n’aurait jamais pu s’a
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formatrice du réel. Ajoutez-y le goût du travail,
vertu
ou vice des populations nordiques, d’ailleurs approuvé par les ordres
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énéficiait du secret des banques mais sentait les
vertus
agricoles… Le Suisse trait sa vache et vit paisiblement disait Vict
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t été conçu comme féminin, disiez-vous, la grande
vertu
eût été la fécondité. — Oh ! cela, c’est de vous, chère amie. Tout ce
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rope, telle qu’on l’a quelquefois définie par ses
vertus
paradoxales d’innovation au sein de la tradition, et de révolution da
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des dames de toute l’Europe qui croient aux mâles
vertus
des officiers bien nés ? Louant leurs frères, leurs fils, ou leurs ma
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rait être plus respectueux des conventions et des
vertus
de la Société de son temps ; ni plus dénué d’amer et de vengeur espri
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, elle flétrit, elle dégrade. Et ailleurs : Les
vertus
guerrières ne sont, le plus souvent, que des utopies traditionnelles