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camarade m’a réveillé : — Le colonel demande des
volontaires
pour une patrouille. Il faut aller reconnaître le sentier du col. Un
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aut donc, tant bien que mal, organiser un service
volontaire
, mais c’est bien difficile au milieu d’un pareil désordre, qui se com
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es soins aux blessés, en temps de guerre, par des
volontaires
zélés, dévoués, et bien qualifiés pour une pareille œuvre ? Tel est
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omme une sorte de devoir sinistre, une mutilation
volontaire
: nous n’avons pas été élevés pour être heureux ! Le contraire de la