1
ant un style doté du nom de sa terre natale. Il n’
y
eut jamais de peinture suisse, au sens où l’on a pu parler d’une pein
2
n. Prenons l’exemple d’une œuvre picturale : il n’
y
aurait pas d’harmonie possible dans un tableau sans contrastes de cou
3
le de l’artiste, hors de l’unité du tableau, il n’
y
aurait pas de contrastes réels entre les tons, il n’y aurait que la s
4
rait pas de contrastes réels entre les tons, il n’
y
aurait que la simple juxtaposition de tubes de couleurs pures, bien m
5
aliste leur ouvre de belles perspectives : qu’ils
y
entrent et qu’ils les explorent, ils s’y sentiront vite chez eux, san
6
: qu’ils y entrent et qu’ils les explorent, ils s’
y
sentiront vite chez eux, sans avoir à renier leur clocher. Définition
7
ris sa place, à cet égard. Or quel rang la Suisse
y
tient-elle ? « L’indice Nobel » peut nous l’apprendre : il donne le n
8
olitique. Mais il serait excessif de dire qu’elle
y
débouche en pleine clarté. Au contraire, c’est à ce niveau que la dis
9
rois, qui se distinguent nettement par le rôle qu’
y
joueraient nos États. On peut concevoir idéalement une Europe unitair
10
des travaux intéressants, auront la possibilité d’
y
participer. Voilà donc le programme initial de notre petit Institut.
11
e développement de la culture occidentale ; ils n’
y
entrent en fait et d’une manière distincte qu’au troisième quart de l
12
oème de Blaise Cendrars : l’amateur non prévenu n’
y
verra pas la Suisse, comme il voit à coup sûr l’Espagne dans les œuvr
13
présente, mélancolique, maternelle ou menaçante,
y
tient la place de l’inquiétude métaphysique chez un Dostoïevski et un
14
reintes du pays et des communautés diverses qui s’
y
côtoient. Pays pauvre, au surplus, et dont les seules richesses naiss
15
on. Prenez l’exemple d’une œuvre picturale : il n’
y
aurait pas d’harmonie possible sans contrastes de couleurs, et sans n
16
le de l’artiste, hors de l’unité du tableau, il n’
y
aurait pas de contrastes réels entre les tons, il n’y aurait que la s
17
rait pas de contrastes réels entre les tons, il n’
y
aurait que la simple juxtaposition de tubes de couleurs pures, bien m
18
ne dise pas qu’elles sont trop petites pour que s’
y
développent à foison des écoles de peintres, des galeries d’expositio
19
r la note suivante : « À la suite de l’article : “
Y
a-t-il une culture européenne ?” publié dans notre numéro de décembre
20
mble ou à sa perfection (nulle société ne saurait
y
survivre) et elles coexistent en nous. L’Européen normal vit quelque
21
disposant de l’hégémonie, décident expressément d’
y
renoncer au profit d’ensemble plus vaste, c’est-à-dire déposent leur
22
’individualité qualitative des États membres, qui
y
délèguent le même nombre de représentants quelle que soit leur popula
23
s si l’on tentait d’unifier le continent, de tout
y
mélanger, et d’obtenir une sorte de nation européenne où Latins et Ge
24
n. Prenons l’exemple d’une œuvre picturale : il n’
y
aurait pas d’harmonie possible, dans un tableau, sans contrastes de c
25
de l’artiste) et hors de l’unité du tableau, il n’
y
aurait pas de contrastes réels entre les tons, il n’y aurait que la s
26
rait pas de contrastes réels entre les tons, il n’
y
aurait que la simple juxtaposition de tubes de couleurs pures, bien m
27
image. Chacune des nations qui composent l’Europe
y
représente une fonction propre, irremplaçable, comme celle d’un organ
28
de ses dimensions la personne même de ceux qui s’
y
rattachent. Certes, il est plus facile de décréter sur table rase, de
29
plus de vrai sens politique. Finalement, si l’on
y
réfléchit, on s’aperçoit que la politique fédéraliste n’est rien d’au
30
eule permettra d’éclairer les chemins qui peuvent
y
conduire. Nous allons essayer de la décrire à grands traits, en nous
31
ent de vague insécurité pour les autres. (Mais on
y
veille, leur commune les protège.) Moins grande que les États-Unis, l
32
x aérodromes, sans avoir à changer de monnaies en
y
perdant à chaque guichet, sans rien déclarer à personne. Des milliard
33
ur tout le territoire de la fédération, soit pour
y
travailler, soit pour y vivre à sa manière. (Les seules restrictions
34
la fédération, soit pour y travailler, soit pour
y
vivre à sa manière. (Les seules restrictions occasionnelles à ce droi
35
finie où il a (ou prend) ses racines ; et il peut
y
exercer ses droits civiques. Le droit à une patrie locale est garanti
36
le territoire administré par un autre État membre
y
bénéficie de tous les droits civiques et sociaux. Il y vote, et il y
37
éficie de tous les droits civiques et sociaux. Il
y
vote, et il y est éligible après un certain délai, qui varie selon qu
38
les droits civiques et sociaux. Il y vote, et il
y
est éligible après un certain délai, qui varie selon qu’il s’agit d’e
39
la souveraineté : faut-il exiger des États qu’ils
y
renoncent ? Si c’est une condition sine qua non, y a-t-il une chance
40
renoncent ? Si c’est une condition sine qua non,
y
a-t-il une chance quelconque qu’on l’obtienne jamais, donc qu’on arri
41
nt la description de l’Europe fédérée de 1980. On
y
assiste à des regroupements qui ne tiennent plus compte des frontière
42
synthétique » édifiée sur un terrain vague — il n’
y
en a d’ailleurs plus d’assez vaste, dans l’Europe de 1980. Le Distric
43
ion que d’appeler des mises au point optiques. Il
y
faut le travail d’une équipe munie de meilleurs instruments, multipli
44
ue du canton de Berne. Un mouvement séparatiste s’
y
manifeste. 8. Cas de la Catalogne, de la Wallonie, des Flandres, du
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se porte donc beaucoup… mais se porte plutôt mal.
Y
a-t-il vraiment une crise du mariage ? Naturellement. Seulement il se
46
riage ? Naturellement. Seulement il serait faux d’
y
voir un mal du siècle, du nôtre. Sans la crise du mariage, que seraie
47
n jour ou l’autre dans l’infidélité. Alors, il n’
y
a pas de solution ? Si. Il faut complètement reconsidérer le mariage.
48
arten et le Pacte public de Brunnen en 1315, il n’
y
avait pas de Suisse, ni sur les cartes, ni dans les chartes. Le nom m
49
d’aujourd’hui. Comme dans le Contrat social, il s’
y
fait l’avocat d’une confédération de nos pays inspirée de celle du «
50
les aspects culturels du mouvement et le rôle qu’
y
joue notre pays. Le congrès de La Haye ayant préconisé la création d’
51
européenne au plan politique. Elle ne pourrait qu’
y
perdre son prestige international. Arguments constitutionnels. — Si
52
ue la Suisse entre ou non dans le Marché commun n’
y
changera rien. (À moins que notre isolement n’entraîne un retour à la
53
le dans la neutralité d’une fédération. Mais il n’
y
a aucune chance qu’on nous offre cela, si nous fédéralistes ne l’exig
54
rès mal connu hors de Suisse ; notre neutralité n’
y
est que trop connue. Pourquoi parler toujours de cette neutralité, ve
55
tätten ont reçu leurs franchises de l’empereur. N’
y
avait-il pas là un premier germe de la neutralité « charismatique » d
56
s courants du monde et s’en nourrir, au lieu de s’
y
laisser dissoudre une à une. La santé des arts et des lettres, dans n
57
teurs de la section « Les arts dans la vie ». Ils
y
verront peut-être une préfigure de l’Europe à venir, cherchant l’unio
58
nt finalement à l’abandon de la course, si l’on n’
y
a pas pris garde au premier signe, si l’on n’a pas prévu la durée de
59
pel du but avait suffi à nous donner les moyens d’
y
répondre. Et je ne dis pas que l’entraînement que nous avions subi au
60
acles, il faut moins d’énergie maîtrisée que pour
y
renoncer dans le moment où l’élan s’est déjà ramassé. Apprendre à réu
61
les deux à la fois, mais je sais que j’aime bien
y
voir clair pendant la nuit. I Comme la très grande majorité des
62
ons, jusqu’à ces toutes dernières décennies, et n’
y
auraient pas songé d’elles-mêmes, sans l’exemple et le défi occidenta
63
péculative, mais transformatrice du réel. Ajoutez-
y
le goût du travail, vertu ou vice des populations nordiques, d’ailleu
64
beaucoup de technique bien habituée et maîtrisée
y
ramène. La technique au xixe siècle signifiait fumée noire, murs noi
65
oduit. Personne n’avait besoin d’autos quand il n’
y
en avait pas encore — à part quelques rêveurs un peu bizarres. C’est
66
pays que tout le monde croit connaître même sans
y
avoir jamais été, car tout le monde sait qu’il est beau mais sérieux,
67
paix et tous les ennemis de l’uniformité. Pensez-
y
, quand vous traversez ce pays aux vingt-deux souverainetés bien unies
68
œil européen et prospectif : vous verrez que tout
y
correspond à quelque chose qui pourrait très bien être l’avenir commu
69
Dieu était féminin… — Mais Dieu est féminin, il n’
y
a pas de question ! — Comment le savez-vous ? — D’abord parce que je
70
des citoyens et un civisme européens tant qu’il n’
y
a pas de Cité européenne ? Inversement, comment fonder une Cité europ
71
une Cité européenne, l’Europe unie, tant qu’il n’
y
a pas de civisme européen ? Cercle vicieux pour ceux-là seuls qui ne
72
ceux-là seuls qui ne demandent qu’à croire qu’ils
y
sont enfermés. Au-delà des impasses logiques, le désir bâtit la cité.
73
ir bâtit la cité. Le désir d’habiter une ville, d’
y
circuler à l’aise et en sécurité, d’y échanger des propos et des prod
74
ne ville, d’y circuler à l’aise et en sécurité, d’
y
échanger des propos et des produits et de participer à son gouverneme
75
r à la vie de la cité, et dans l’éveil du désir d’
y
tenir son rôle de citoyen. (« Cité » signifiant ici toute communauté
76
tant que nous sommes tous différents, et que nous
y
tenons ; b) Problèmes économiques, en tant qu’ils relèvent de l’initi
77
de leurs responsabilités européennes, et pour les
y
pousser, il importe d’agir sans délai sur des groupes forcément restr
78
ive de réflexion ou de création personnelle. Je n’
y
trouve en tout que deux points d’interrogation sur 340 pages ; encore
79
e certaine année, au milieu du xiie siècle, il n’
y
avait à la Sorbonne pas un seul professeur français. Les grands maîtr
80
nant, pour nous en tenir aux exemples suisses, qu’
y
a-t-il eu comme importation et exportation des cerveaux en Suisse ? C
81
exode dommageable, je suis d’avis qu’on essaie d’
y
remédier en renversant le flux, c’est-à-dire en créant des pôles d’at
82
-à-dire comment créer des pôles d’attraction ? On
y
fait allusion déjà. Il s’agit de concentrer les ressources intellectu
83
e — ces ressources et les subventions qui doivent
y
être attachées sur tout le territoire de la Confédération. S’il ne s’
84
, ou un dentiste, soit retenu à Genève, même s’il
y
est moins payé qu’ailleurs, parce qu’il n’est pas uniquement physicie
85
! M. de Rougemont : Je suis venu ici parce que j’
y
trouvais quelque chose que je ne trouvais pas en Amérique, quelque ch
86
tement indemnes de toute influence américaine. Il
y
en a tout de même, ne fût-ce que le jazz. Nous avons pris aux États-U
87
’exalte le ministre d’État du général de Gaulle s’
y
opposent encore irréductiblement, de tout leur être de nations « souv
88
de s’en féliciter, d’affirmer qu’on ne peut rien
y
changer, que c’est là-dessus qu’il faut bâtir, et d’appeler ça du réa
89
ie d’une seule ethnie. Modèle monstrueux, si l’on
y
réfléchit, mais c’est précisément ce que l’on ne fait pas, parce que
90
s, — trop grands pour que leurs citoyens puissent
y
exercer normalement leurs devoirs civiques, et participer effectiveme
91
falloir ou bien renoncer à l’union et alors il n’
y
aura plus de problème, ou bien modifier les données mêmes du problème
92
’est pas particulier à la Bretagne. Mais la crise
y
est si aiguë, la conscience de la crise si vive et l’oppression quasi
93
ant, me disent certains augures, mais n’allez pas
y
attacher trop d’importance. L’État français ne sera pas si aisément é
94
régionales, et que ses six États-nations membres
y
aient pris part. C’est l’arriération, le sous-développement de nombre
95
e que nous n’osions l’espérer. Toutefois, ne nous
y
trompons pas : le processus sera très long, et il nous paraîtra néces
96
dans le Marché commun, j’entends répéter qu’elle
y
perdrait sa souveraineté, qu’elle s’y perdrait. Et si je parle d’une
97
ter qu’elle y perdrait sa souveraineté, qu’elle s’
y
perdrait. Et si je parle d’une fédération basée sur les régions, on m
98
acher politiquement à l’idéal fédéraliste — s’ils
y
tiennent vraiment — et de maintenir leur association. Nous sommes le
99
ns après La Haye : où en est l’Europe ? (mai 1968)
y
1. Il y a vingt ans, se tenait à La Haye le « Congrès de l’Europe
100
parfois des prises de consciences synchroniques.
y
. Rougemont Denis de, « Vingt ans après La Haye : où en est l’Europe
101
lier et manifeste une vocation incomparable. Il n’
y
a pas d’accent européen, mais l’Europe est partout où une langue est
102
ose et dont les mythes disposent, si peu que l’on
y
prête de sensibilité. Pas question de s’y préparer ni de rien combine
103
ue l’on y prête de sensibilité. Pas question de s’
y
préparer ni de rien combiner à l’avance : la découverte de l’itinérai
104
, mais aucun objectif ne pourra l’enregistrer, il
y
faudrait un œil de l’âme, œil intérieur : on est ici dans l’événement
105
ombre : est-ce bien ainsi ? n’est-ce que cela ? n’
y
a-t-il Personne ? Ces grands buissons, ces murets de pierre sèche, ce
106
rai que mon Littré date de 1865 : « fédéralisme »
y
est encore qualifié de « néologisme ». C’était deux ans après le livr
107
es les décisions relatives à cette tâche. Il peut
y
avoir d’ailleurs plusieurs niveaux de décisions, hiérarchisés. Sépare
108
dre une fois pour toutes ce conflit permanent. Il
y
faut une méthode vivante, celle que j’ai dite : sans cesse évaluer à
109
l’institution et du civisme. Si on trouve qu’il n’
y
a pas assez de civisme quelque part, le premier remède c’est d’appliq
110
égion linguistique. On peut très bien continuer à
y
parler, comme en Suisse, plusieurs langues, bien que l’allemand y soi
111
en Suisse, plusieurs langues, bien que l’allemand
y
soit majoritaire. Il faut s’orienter vers une vision de l’Europe de d
112
d’une fédération ? Je n’en sais rien. Nous devons
y
travailler d’une manière active. Sur la question précise des ordinate
113
nvenir ici. Mais alors, au-delà de la captatio, n’
y
a-t-il une secrète et profonde ironie, une intention de souligner le
114
t situé, chiffré, détaillé d’heure en heure. Il n’
y
a presque plus d’adjectifs. Mais seul ce changement de ton trahit l’e
115
ient en une phrase, au surplus interrogative : N’
y
aurait-il pas moyen de constituer des sociétés de secours dont le but
116
dans un village du canton d’Appenzell, Heiden. Il
y
vivra obscurément dans la misère, pendant huit ans, jusqu’au jour où
117
ts sont prêts pour de nouveaux combats, résolus à
y
engager le reste de l’Europe avec eux — peut-être le monde entier… Da
118
une indéniable école d’immoralité politique. » On
y
apprend à ne voir « rien de plus beau, rien de plus grand, rien de pl
119
etit village du Midi où je possède une maison. On
y
a tué la poule aux œufs d’or car on n’a pas pensé que l’on détruisait
120
petites, plus homogènes, à créer un style. Mais n’
y
aurait-il pas un grand bouleversement, dans tous les domaines ? Il fa
121
n d’un cordon douanier commun, par exemple.) Il n’
y
a qu’une transition du projet au succès : c’est l’acte créateur, ou r
122
s s’arrogent en barons pillards ; et tant qu’il n’
y
aura pas, au niveau continental, une autorité politique fédérale. ak
123
oureuse de lui avant même qu’il ait dit un mot… »
Y
a-t-il des causes d’échec qui soient plus spécifiquement attachées à
124
t la fille qui se marient « avec passion » ? Il n’
y
en a plus, aujourd’hui. Il n’y a plus d’obstacle objectif : si l’un d
125
c passion » ? Il n’y en a plus, aujourd’hui. Il n’
y
a plus d’obstacle objectif : si l’un des deux est marié, il n’a qu’à
126
rise du mariage n’a pas six siècles. Quel rapport
y
a-t-il entre l’un et l’autre ? C’est qu’autrefois on se mariait pour
127
ntion, ne vous remariez pas pour vous venger N’
y
a-t-il pas des causes d’échec spéciales à un deuxième mariage ? Oui,
128
d’échec spéciales à un deuxième mariage ? Oui, il
y
en a deux, qui tiennent, elles aussi, à ses motivations. La peur de l
129
is n’a davantage de chances de réussir que s’il n’
y
a pas nostalgie de la passion chez l’un ou chez l’autre. Se dire : «
130
les goûts et les antécédents. Un mariage où il n’
y
aurait que des « convenances » a plus de chances de durer mais guère
131
plus de chances de bonheur qu’un mariage où il n’
y
aurait que de l’amour. Le vrai amour c’est le contraire de la pass
132
e, l’unique, ce que chaque être peut devenir s’il
y
est appelé. C’est son mystère, qui n’a rien de littéraire, de romanti
133
et l’on décide qu’on n’aura pas d’enfants ; il n’
y
aura donc pas de victimes. Appelons cette expérience un « mariage-maq
134
e ressentir une passion, qui fait croire que « ça
y
est », avec la réalité. Quand les gens cesseront de croire que la pas
135
ien marquer, nous dit-il, c’est que pour moi il n’
y
a aucune séparation entre L’Amour et l’Occident et les ouvrages que
136
e ou que j’ai déjà écrit sur le fédéralisme. Il n’
y
a jamais eu en moi deux activités distinctes, mais au contraire osmos
137
ez mal connu, Politique de la personne . On peut
y
lire, en effet, un article qui avait déjà paru dans la revue Esprit
138
qui se posait dans les termes d’aujourd’hui. Nous
y
avions peut-être un peu plus de mérite, car la situation extérieure n
139
uction de l’Université et refuse de dire ce qu’il
y
mettra à la place. C’est de la démagogie facile et extrêmement danger
140
lyser toujours exactement, mais ils le sentent et
y
réagissent instinctivement en anarchistes. Les hippies Je pense
141
placez résolument du côté de la révolution ? Je m’
y
suis toujours placé depuis ma jeunesse à Paris quand nous fondions le
142
esoins qui se manifestaient et les possibilités d’
y
répondre : une Association européenne des festivals de musique ; une
143
nous voyons un besoin européen, une possibilité d’
y
répondre, et un certain nombre de gens qui ont envie qu’on le fasse,
144
nt, comme Toynbee le faisait de son côté, qu’il n’
y
a pas d’histoire de la culture concevable, intelligible, en dehors d’
145
hui ? Moi, je ne suis pas du tout d’accord : il n’
y
a pas du tout de débandade de l’idée religieuse, du phénomène religie