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us dirai donc qu’entre l’union de l’Europe et les
États-nations
sacralisés, entre une nécessité humaine des plus concrètes et le cult
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soit fédéraliste ou qu’elle en reste au stade des
États-nations
. Bien sûr, si l’on prend, par exemple, le problème des transports, ce
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affrontements provoqués par la juxtaposition des
États-nations
sur le continent. Tout en poursuivant une œuvre qui le fait figurer p
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n civique, les arts et l’économie sur la base des
États-nations
, produits du xixe siècle napoléonien. Si l’on prend comme base les r
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tion des régions ? La décision viendra-t-elle des
États-nations
actuels ? Les régions se formeront malgré les États-nations, qui ont
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ons actuels ? Les régions se formeront malgré les
États-nations
, qui ont tout fait pour les empêcher de vivre (voir la France) et qui
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à l’intérieur de limites, elle doit rayonner. Les
États-nations
actuels, qui ont nom France, Angleterre, Italie, etc. sont-ils appelé
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s cette évolution est marquée dans les faits. Les
États-nations
sont des créations contre nature. Voyez comme ils ont coupé en quatre
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alte 10. L’école vous a raconté que chacun de nos
États-nations
correspond à une langue, à une ethnie, à un ensemble à la fois économ
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s l’avez cru ! Vous croyez donc que chacun de nos
États-nations
a sa langue et que ses frontières coïncident avec son extension. Vous
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urra jamais les fédérer, parce que nos vingt-cinq
États-nations
ne sauraient céder sans trahir un pouce de leur sacro-sainte souverai
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le principe. Nous ne croyons pas à une Europe des
États-nations
souverains. Je l’ai souvent dit : ce serait une amicale des misanthro
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les origines, mais qui le meut. Enfermés dans nos
États-nations
depuis un siècle et demi, grâce à Napoléon puis à nos écoles national
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ant, elle doit tenir compte des obstacles que les
États-nations
mettent à toute stratégie écologique cohérente, c’est-à-dire transnat
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e de créer une puissance nouvelle sur la base des
États-nations
. Or l’Europe ne pourra se fédérer que par la volonté délibérée des Eu
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mais qui implique le démantèlement progressif des
États-nations
. Les régions se constitueront en nouant entre elles, par-dessus les f
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ée ; elle reste liée par nature à l’existence des
États-nations
de formule napoléonienne ; or ceux-ci feront toujours échouer la conf
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rès l’échec des mouvements d’union — au stade des
États-nations
qui se disent souverains, se veulent indépendants, et restent tout-pu
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s 2000 un homme né avant 1900. La persistance des
États-nations
en 2000 impliquerait la mort de l’Europe comme entité. L’échec défini
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commun des Six par suite du refus opposé par les
États-nations
à toute forme d’union efficace et au moins concurrentielle avec les S
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tion civique de l’Europe paraît inévitable si nos
États-nations
persistent à refuser toute forme d’union fédérale et de distribution
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si à s’unir, c’est-à-dire à dépasser le stade des
États-nations
centralisés de modèle jacobin-napoléonien, elle offre une double poss
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les ; ou en d’autres termes : la substitution aux
États-nations
délimités par les arbitraires frontières politiques actuelles de rése
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au-dessus, souffrent des mêmes défauts. Quant aux
États-nations
, à la fois trop grands et trop petits, leur procès n’est plus à faire
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esse d’enseigner que les seules réalités sont les
États-nations
, car ceux-ci par principe s’opposent à toute espèce d’union sérieuse,
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aire le moins possible en restant sur le plan des
États-nations
. C’est ce que j’attaque maintenant à boulets rouges. Comment voulez-v
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micale. C’est exactement ce qui se passe avec les
États-nations
. Ils veulent garder leur souveraineté et leur indépendance comme le d
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Italie. Cet ensemble ne correspond à aucun de nos
États-nations
actuels. D’autre part, je suis protestant. Voilà un autre ensemble au
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re, qui est la raison fondamentale, génétique des
États-nations
. Malheureusement, beaucoup de gens conçoivent avec peine que c’est de
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t qu’ils sont des représentants des partis ou des
États-nations
, ils ne sont pas des hommes politiques, ils sont des partisans ou des
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est pas possible avec le système de découpage des
États-nations
, complètement arbitraire, fait au hasard des traités et des campagnes
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alte 11. L’École nous a raconté que chacun de nos
États-nations
correspond à une langue, à une ethnie, à un ensemble à la fois économ
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l’avons cru ! Nous croyons donc que chacun de nos
États-nations
a sa langue et que ses frontières coïncident avec elle. Nous croyons
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ra jamais les fédérer, parce que leurs vingt-huit
États-nations
ne sauraient céder sans trahir un pouce de leur sacro-sainte souverai
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par « nations », comme on le fait couramment, les
États-nations
modernes de l’Europe. La culture européenne n’est pas la somme de vin
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ent ». La vérité que nous cachent les façades des
États-nations
, c’est que l’Europe est d’abord une culture, et que cette culture s’e
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ent le principe. Je ne crois pas à une Europe des
États-nations
souverains, parce qu’on ne peut pas fonder l’union sur l’obstacle par
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rait Napoléon, Hitler, ou n’importe lequel de nos
États-nations
s’il pouvait aller jusqu’au bout de ses ambitions monopolistes. La pl
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-on jamais exigé une « taille européenne » de nos
États-nations
? Du Luxembourg et de la France, lequel des deux États a-t-il la tail
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Sur le plan politique, c’est plutôt le recul. Les
États-nations
ne veulent pas abandonner une parcelle de leur souveraineté. La caren
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politique énergétique européenne démontre que les
États-nations
sont incapables de résoudre un tel problème, comme ils sont impuissan
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les problèmes fondamentaux de sa vie. Ce que les
États-nations
ne font pas. La participation, l’autogestion civique exige de petites
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ultinationales ? Vous dénoncez l’existence des
États-nations
comme une entrave à l’engagement des citoyens dans leurs communautés
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onomique coïncide avec les frontières d’un de nos
États-nations
, frontières qui ont été fixées au hasard des guerres et des traités s