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ujours plus de choses. Je crois qu’on va vers une
époque
où le loisir va devenir le sérieux de la vie, le loisir et la culture
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bstacles par définition, que devient-elle à notre
époque
où les obstacles ne se dressent plus entre les amants ? La distance m
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’hui est plus petite que ne l’était la Suisse à l’
époque
où elle s’est fédérée ; et les disparités de coutumes ou de richesse,
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e que contre le communisme totalitaire. Dès cette
époque
, il considère que le fédéralisme constitue pour l’Europe la seule cha
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an religieux (voire pour moi théologique, à cette
époque
) de ma « Légende dramatique » est révélé tantôt en majesté, — toute l
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justement. Toutes ces valeurs qui tiennent à des
époques
où c’était la force physique qui comptait, alors que, dans notre soci
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it le droit de vote aux citoyens suisses. À cette
époque
, la Confédération était tombée sous la coupe militaire de la France.
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e ; du rationalisme aux romantismes de toutes les
époques
, de la scolastique au marxisme et aux existentialismes ; — les foyer
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autaire, qui dominait la politique française de l’
époque
. On a dit que la contestation, surtout dans les pays de l’Est, où ell
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horizon, et qui n’était pas notre guerre. À cette
époque
, toute une génération s’est exprimée dans le personnalisme : à l’indi
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mme des tendances religieuses « aberrantes » de l’
époque
(orientalisme et ashrams, sécularisme chrétien-social, hippies et leu
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t la possibilité de l’agora ou du forum, auquel l’
époque
absolutiste a déjà substitué, dans nos capitales, des espaces géométr
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ant par régions ou provinces. Vous étiez, à cette
époque
, les premiers à parler de fédéralisme et de régions ? Absolument. Nou
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de Ferney, en 1947, j’ai eu la visite d’amis de l’
époque
d’ Esprit et de L’Ordre nouveau . Ils m’ont convaincu d’aller, un m
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un plaisant vocabulaire anglo-normand de la belle
époque
— un franglais primitif, si l’on préfère — dont je citerai quelques e
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là où il s’était constitué. Cela fut ressenti à l’
époque
comme le péché contre l’esprit (académique), la transgression par exc