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rticulières et des pensées originales et enfin un
équilibre
de forces qui exclut toute démesure et favorise le libre jeu des init
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’explosion de population est formidable. Tous les
équilibres
anciens sont détruits : prenez les villages qui éclatent, le paysage
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ettre ensemble pour faire un supermarché ; tout l’
équilibre
des relations quotidiennes entre les gens se trouve changé. C’est ce
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ens se trouve changé. C’est ce bouleversement des
équilibres
vivants qui est extrêmement grave ; et ce sera toujours pire, car auc
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s, à l’échelle du continent. Cette recherche d’un
équilibre
humain est d’ailleurs beaucoup plus révolutionnaire qu’on ne le pense
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tait comme un exemple plus frappant encore de « l’
équilibre
nécessaire entre le régionalisme et l’universalisme », la commune de
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pas viable. Trop rares sont les « beaux moments d’
équilibre
doré » dont parle Nietzsche. Deux menaces se dressent contre le coupl
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bérateurs, par les dieux, ces gardiens jaloux des
équilibres
antérieurs, mais toujours victorieux pour le « progrès de l’espèce »,
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ion ont été bien souvent invoqués à propos de « l’
équilibre
de la terreur atomique », ou plus simplement à propos des sondages d’
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ynamismes, et non pas d’imposer un certain type d’
équilibre
ou de stabilité. Disons qu’il est méthode d’invention permanente et n
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pelons aujourd’hui l’écologie, art et science des
équilibres
vivants entre l’homme, ses créations et la nature, soit le terme qui
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tion sauvage qui sont en train de bouleverser les
équilibres
écologiques du continent européen, et des mers et des airs qui l’ento
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el prix pour le profit privé ou collectif, mais l’
équilibre
entre l’individu et la cité, entre le groupe et l’humanité, entre cel
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es en détail par les ordinateurs ; — ou veut-on l’
équilibre
vivant entre l’homme, la cité et la nature ? Et alors il faut dès mai
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e l’homme. L’écologie, qui est art et science des
équilibres
biologiques et dynamiques, va désormais déterminer nos choix, et tout
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rsonnes, alors nous choisissons un certain état d’
équilibre
. Par ailleurs, nous sommes forcés de renoncer à la forme État-nation
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er au départ la notion de conflit, c’est fonder l’
équilibre
vivant et l’harmonie de nos vies publiques et privées sur la permanen
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e fonction proprement politique, d’arbitrage et d’
équilibre
entre les différentes fonctions particulières. C’est à ce niveau qu’i
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puissance collective d’un État, la sauvegarde des
équilibres
entre l’homme et la nature plutôt que du seul profit matériel. Et
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abord leur profit et c’est souvent aux dépens des
équilibres
sociaux et naturels d’un pays. Mais je le répète, rien ne les empêche