1
oses. Je pense que nous allons maintenant vers un
état
de la société où, tout doucement, l’aiguille va passer du travail au
2
chose que l’amour. En effet, si l’on se marie en
état
de passion, c’est-à-dire en état de fièvre, c’est exactement comme si
3
l’on se marie en état de passion, c’est-à-dire en
état
de fièvre, c’est exactement comme si l’on voulait prendre une décisio
4
uand l’esprit et ses facultés sont embrumés et en
état
de transe. La décision risque de n’être pas excellente. La passion, d
5
américaine se précipitent. Tant qu’il y aura cet
état
de divisions nationales, voire nationalistes, des Européens, les Amér
6
éfendre, c’est donc, en fin de compte, un certain
état
de tension entre le mariage et la passion, entre l’orthodoxie et l’hé
7
l projette. Ce qu’il aime, c’est l’amour, être en
état
d’amour. Toutes les femmes qu’on aime d’amour-passion, toutes les Ise
8
’énergie se dégrade continuellement et passe d’un
état
de plus haute organisation à un état de plus basse organisation. D’un
9
t passe d’un état de plus haute organisation à un
état
de plus basse organisation. D’uniformisation ? De moindre différence,
10
aurait être qu’une image-limite, irréalisable à l’
état
pur, car non seulement « le pire n’est pas toujours sûr », mais encor
11
s’opérer par un quelconque retour anarchisant à l’
état
prétechnique des sociétés humaines. Il s’agit au contraire de le calc
12
des personnes, alors nous choisissons un certain
état
d’équilibre. Par ailleurs, nous sommes forcés de renoncer à la forme
13
parition monstrueuse et défigurée qui reflète son
état
déchu. Je ne puis m’empêcher d’imaginer que cette « rencontre auroral