1 aine manière. Quand nous disons que nous sommes «  absorbés  » dans un livre, est-ce que c’est lui qui nous absorbe ou nous qui l’

2 és » dans un livre, est-ce que c’est lui qui nous absorbe ou nous qui l’absorbons ? C’est une question qu’on peut se poser, et

3 t-ce que c’est lui qui nous absorbe ou nous qui l’ absorbons  ? C’est une question qu’on peut se poser, et cela me fait penser à ce

4 Le président Kennedy lisait très, très vite ; il absorbait , je ne sais combien de milliers de mots à la minute. Alors je crois q

5 vegarder, car, faute d’union, elles seraient vite absorbées par une puissance voisine. Le fédéralisme repose essentiellement sur

6 ner à l’Europe de se faire purement et simplement absorber par d’autres économies. Cela ne revient-il pas à se poser la question

7 un code de collaboration, et, cela fait, chacun s’ absorbe en son travail, selon les lois de son langage particulier. Or, l’aisa

8 affrontées, mélangées, superposées, partiellement absorbées les unes par les autres, ou absorbantes, évoluant à travers les âges