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ner aussi les deux choses. Je pense que c’est une
affaire
d’entraînement, de goût personnel, de possibilités différentes. Quel
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ont été amenés depuis cinq ou six ans par l’IOS,
affaire
américaine qui, chassée des États-Unis et de Suisse, s’est installée
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— à part nos bons nationalistes. Enfin, il y a l’
affaire
des frontières naturelles, chères à nos maîtres. Cette notion a son o
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cette idée que la femme n’a pas sa place dans les
affaires
publiques qui doivent être le domaine des guerrières, de l’homme armé
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civique La participation réelle du citoyen aux
affaires
publiques en tant qu’acteur, non-spectateur, n’étant possible et prat
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i la conduite de la cité devient en conséquence l’
affaire
de spécialistes pratiquement anonymes, et que des élus transitoires s
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La discussion publique était, en Grèce antique, l’
affaire
de l’ensemble des citoyens (environ le dixième de la population) réun
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ter aujourd’hui, le plus souvent, dans la vie des
affaires
et les échanges personnels ? Il est possible — et pour ma part j’y cr
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ue l’on acquiert par des études. Elle n’est pas l’
affaire
des « salons », comme l’imaginent encore quelques amateurs de clichés
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atiques. Ainsi définie, la culture n’est plus une
affaire
de fiches, de bibliothèque ou d’œuvres, c’est-à-dire d’objets extérie
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que l’on trouve aujourd’hui en livre de poche. L’
affaire
Lip est déjà prévue, définie, et à mon sens résolue, dans la pensée d
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ltes et de la région de la Volga. Enfin, il y a l’
affaire
des frontières naturelles, chères à nos maîtres. Cette notion a son o
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fut auprès du Tribunal de la Seine au moment de l’
affaire
Dreyfus. Son analyse permit d’innocenter le capitaine. Sur les trente
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se à juste titre dans les pays où il est devenu l’
affaire
des seuls partis, car ceux-ci ne correspondent plus à grand-chose auj