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que nos stato-nations modernes correspondent à l’
aire
de diffusion d’une langue. Prenez la France : on parle huit langues à
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manité, c’est-à-dire globale. Si la commune est l’
aire
où ma voix peut se faire entendre, alors « le monde est ma commune »
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culturelles et politiques, n’auront pas les mêmes
aires
de rayonnement et ne seront donc ni superposables ni juxtaposables ;
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s industriels, commerciaux et de services, dont l’
aire
ne recouvre ni celle de la région de main-d’œuvre, ni celle de la rég
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ituer. Or cette région se trouve correspondre à l’
aire
du franco-provençal, entre la langue d’oc et la langue d’oïl, ancêtre
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me très neuf de l’administration de ces régions d’
aires
variables : celle-ci serait basée — comme l’a proposé le récent collo
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que nos stato-nations modernes correspondent à l’
aire
de diffusion d’une langue. Prenons la France : on parle huit langues
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le, etc. — et ces régions fonctionnelles seront d’
aires
différentes, puisque les échanges commerciaux, par exemple, n’ont auc
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d’ensembles fonctionnels, qui ne sont pas de même
aire
territoriale ni de même appartenance politique, sociale, nationale. U
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industriels, commerciaux, et de services, dont l’
aire
ne recouvre ni celle de la région de main-d’œuvre, ni celle de la rég
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tuer. Or, cette région se trouve correspondre à l’
aire
du franco-provençal, insérée depuis le xe siècle entre la langue d’o
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e ces fonctions correspondent à une seule et même
aire
géographique. Citez-nous un exemple. À l’Institut universitaire d’étu
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géométrie variable différentes régions, dont les
aires
géographiques ne se recouvrent pas : par exemple une région écologiqu
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usanne et Fribourg. On distingue aussi dans cette
aire
la plus large une région industrielle où se font quatre-vingts pour c