1 ent vivaces, et non seulement dans le respect des autonomies mais pour les sauvegarder, car, faute d’union, elles seraient vite ab

2 aboration entre les cantons. Pour maintenir leurs autonomies , il faut bien qu’ils se mettent tous ensemble. Aucun d’entre eux ne p

3 ants voisins. Ils n’ont pu défendre leurs petites autonomies qu’en se groupant. Eh bien ! il faudrait appliquer cette formule main

4 que assez puissant pour sauvegarder et garantir l’ autonomie de chacun de ses membres, c’est un problème parfaitement homologue à

5 réer un pouvoir fédéral pour la sauvegarde de nos autonomies . Car ces autonomies seront perdues une à une si nous refusons l’union

6 ral pour la sauvegarde de nos autonomies. Car ces autonomies seront perdues une à une si nous refusons l’union qui, seule, ferait

7 e fédéraliste, respectueuse des diversités et des autonomies politico-sociales. Une Europe unifiée et uniformisée, deux hommes ont

8 e culture est homogène, mieux elle incite à cette autonomie , à cette autostructuration de la personne, de l’œuvre, des régions ou

9 niversel et du personnel, de la fédération et des autonomies — liaison constitutive de la révolution — Dandieu la démontrait par t

10 ré mieux que personne comment le mouvement vers l’ autonomie régionale était dans le droit fil de la véritable vocation française

11 plusieurs États qui, tout en gardant une certaine autonomie , s’associent pour former un seul État à l’égard des puissances étrang

12 elle ne mentionne que l’union et ne dit rien de l’ autonomie . Or, une union qui ne respecterait pas l’autonomie des parties consti

13 utonomie. Or, une union qui ne respecterait pas l’ autonomie des parties constituantes n’aurait pas lieu d’être appelée fédérale.

14 érés aux autorités ». Ainsi, la force garante des autonomies locales est celle qui naît précisément de la mise en commun d’une par

15 , serait seul capable de garantir effectivement l’ autonomie de chacun de nos peuples, autonomie ou « souveraineté » relative que

16 fectivement l’autonomie de chacun de nos peuples, autonomie ou « souveraineté » relative que rien ne protège aujourd’hui — sauf l

17 et n’ayant d’autre fin que la sauvegarde de leurs autonomies . Mais des observations analogues peuvent être faites à l’échelle euro

18 t — qu’on ne le fait pour des écosystèmes ; b) l’ autonomie de régions restreintes, c’est-à-dire la distribution de l’appareil ét

19 ives aux libertés de la personne. L’identité et l’ autonomie de la personne sont en butte à des menaces de tous ordres : pharmacop

20 versité. De créer des unions pour sauvegarder les autonomies . Voilà ce que j’ai découvert dans l’histoire de la Suisse. Pourquoi c

21 ns. Elle s’est fait uniquement pour maintenir les autonomies des parties constituantes : c’est donc une formule diamétralement opp

22 uffisante pour sauvegarder les différences et les autonomies de chacune des communes, de chacun des groupes de communes, de chacun

23 r définir le couple et définir la coexistence des autonomies locales. Voilà au nom de quelle pensée nous arriverons à faire l’Euro

24 Qu’il définit ainsi : “S’unir pour permettre aux autonomies de rester autonomes et toujours faire correspondre les dimensions des

25 millions de morts. Et il faut restituer dans leur autonomie les cités et régions créatrices de culture, sans plus tenir compte de

26 r. Les unes exigent une aide spéciale, d’autres l’ autonomie régionale, quelques-unes leur séparation et leur rattachement immédia

27 alisme est une méthode pour garantir le maximum d’ autonomie des unités fédérées, grâce à un minimum de services communs. Mieux :

28 e fédéraliste, respectueuse des diversités et des autonomies politiques. Une Europe unitaire et uniformisée en vue de la puissance

29 fin de sauvegarder leurs vraies diversités, leur autonomie judiciaire, leur droit de vivre à leur manière, autrement dit, leur d

30 urs destinées, c’est la volonté de recouvrer leur autonomie , et de sauvegarder leur mode de vie. C’est l’idée de la région elle-m