1
rce que nos vingt-cinq États-nations ne sauraient
céder
sans trahir un pouce de leur sacro-sainte souveraineté, et qu’ils son
2
onnes, l’uniformisation totalitaire. Dès que vous
cédez
quoi que ce soit sur la personne, tout est perdu : l’homme, le couple
3
ocation personnelle, à la mettre en doute, donc à
céder
à l’entropie physique et morale. C’est là le mal de notre siècle, le
4
ner à l’euphorie d’un lyrisme contemplatif, ou de
céder
à cette espèce de bonne conscience que donne l’indignation active. L
5
ût pas eu lieu. Si les derniers tabous viennent à
céder
, c’en sera fait de la passion. Que deviendront nos romanciers ? Il le
6
Les obstacles sociaux, coutumiers ou sacrés, ont
cédé
à nos sciences, ou c’est tout comme. Qu’en est-il du dernier barrage
7
e que leurs vingt-huit États-nations ne sauraient
céder
sans trahir un pouce de leur sacro-sainte souveraineté, et qu’ils son