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restre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi
céleste
à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de la Lumière-de-Gl
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décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux
célestes
où croissent les plantes d’immortalité »18, au centre du monde spirit
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entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi
céleste
, jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis
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iner que cette « rencontre aurorale » avec le moi
céleste
en forme d’ange, et femme, figure la conclusion du mythe de Tristan :
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tion de la passion. 18. Cf. Henry Corbin, Terre
céleste
et Corps de Résurrection, Buchet-Chastel, Paris, 1960. 19. L’adjecti