1 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
1 restre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de la Lumière-de-Gl
2 décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité »18, au centre du monde spirit
3 entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste , jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis
4 iner que cette « rencontre aurorale » avec le moi céleste en forme d’ange, et femme, figure la conclusion du mythe de Tristan :
5 tion de la passion. 18. Cf. Henry Corbin, Terre céleste et Corps de Résurrection, Buchet-Chastel, Paris, 1960. 19. L’adjecti