1 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
1 ar excellence ! Revenir au théâtre grec, avec son chœur  ? Ce serait la solution formelle ; encore faudrait-il l’adapter à la
2 ui peut s’adapter à la fois à la déclamation d’un chœur en marche et au dialogue du drame civique et spirituel. Tout cela cré
3 ne compagnie de théâtre d’amateurs et deux petits chœurs à Neuchâtel, un grand chœur et une fanfare à La Chaux-de-Fonds, 400 f
4 teurs et deux petits chœurs à Neuchâtel, un grand chœur et une fanfare à La Chaux-de-Fonds, 400 figurants fournis par diverse
5 avec quelques pages dans ma poche. (J’ai écrit le chœur des Compagnons de la Follevie sur les marches de son escalier, un jou
6 alité de chacune des interventions d’un des trois chœurs que j’ai prévus. Quelquefois il m’appelle au téléphone : « Au 5e vers
7 l m’a dit : « Quand vous écrivez les paroles d’un chœur , chantez-les sur un air quelconque, comme “Frère Jacques”. Ce qui a é
8 istant pour la première fois à une répétition des chœurs — et ce sera la dernière : la guerre est pour demain — je me sens lit
9 ransporté ! Voici chanté, clamé ou soutenu par le chœur au sublime de la précision dans le sentiment, non seulement mon texte
10 risme aérien, alpestre, cristallin, comme dans le chœur fugué : « Étoile du matin ». La part du cœur Plus tard, je lui