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rès petit nombre de programmes, vous n’avez aucun
choix
. C’est fait pour un certain ensemble, une certaine tribu, une partie
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e culte prolongé d’un mythe, il faut choisir ! Ce
choix
doit s’opérer dans une certaine finalité ; quelle finalité trouvez-vo
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l’idée européenne réserve d’ailleurs une place de
choix
à Rousseau, Constant, Robert de Traz et Gonzague de Reynold, pour ne
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L’Europe à l’heure de ses
choix
I : Niveau de vie ou mode de vie ? (15 novembre 1970)m n Dans votr
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avons réussi à renverser la vapeur. De grands
choix
à faire Ce serait donc le moment de « renverser la vapeur » et nou
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le nous ne pourrions pas vivre ? Il y a de grands
choix
à faire et cela pour la première fois, car jamais avant notre générat
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Denis de, « [Entretien] L’Europe à l’heure de ses
choix
I : Niveau de vie ou mode de vie ? », Tribune de Lausanne — Le Matin,
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L’Europe à l’heure de ses
choix
II : Se rallier à l’idée suisse (22 novembre 1970)o p Dans cette o
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Denis de, « [Entretien] L’Europe à l’heure de ses
choix
II : Se rallier à l’idée suisse », Tribune de Lausanne — Le Matin, La
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ré comment il ne restait plus aujourd’hui d’autre
choix
que celui de faire l’Europe ou alors d’accepter de devenir une sorte
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liberté de choisir qui ne se renonce que dans le
choix
du sens. Or ce sens tout d’abord jalonné par les signes, doit être dé
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ésita pas à déclarer que l’Europe n’avait plus le
choix
qu’entre deux solutions : la balkanisation et l’helvétisation. Ce dia
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té inéluctable, mais que, dans la part libre, nos
choix
nécessairement vont constituer des hérésies. Nous ne deviendrons nous
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el englobe les activités aussi hétérogènes que le
choix
et le contrôle des poids et mesures, la rhétorique, l’ethnographie, l
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é subie et une part d’hérésie active (ou de libre
choix
personnel), de nombreuses et précises prédéterminations, et un grand
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sposent ou le commandent en partie, et ses libres
choix
, d’autre part, font nécessairement tort à l’Europe idéale et théoriqu
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mais par eux-mêmes ! Et si l’on se trompe sur le
choix
de sa vocation personnelle ? Celui qui a accepté le risque personnel
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tandis que la politique sera la définition et le
choix
des priorités, des options prospectives dans tous les domaines de la
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s prévisible de ces implications successives, des
choix
qu’elles entraînent et de leurs interactions et autorégulations, doit
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n de l’État, formules communautaires pluralistes,
choix
(plus ou moins ambigus) entre puissance ou liberté (c’est-à-dire sécu
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itoyen doivent être discutées et faire l’objet de
choix
mûris en connaissance de cause. C’est complexe, mais c’est vital : on
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s plus myopes à secouer leur torpeur, à faire des
choix
, à décider une politique de l’homme : — veut-on la Puissance à tout p
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giques et dynamiques, va désormais déterminer nos
choix
, et toutes nos options politiques, au sens de stratégie de l’humanité
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oulons-nous la liberté des personnes ? Suivant le
choix
que chacun doit faire librement, tout le reste change. Si nous choisi
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plus ou moins dirigé, conseillé, orienté dans ses
choix
par sa famille, son milieu ou sa classe, l’enseignement et l’opinion
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és. De plus, elles donnent de la justesse dans le
choix
de l’expression. Il me plaît de traduire cette belle définition dan
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« La famille est devenue un
choix
» (23 septembre 1973)az ba Évoquant sa lignée, Denis de Rougemont
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e celui de la famille ? La famille est devenue un
choix
, pas une nécessité. Ce que je trouve assez bien. Il y avait une homog
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Denis de, « [Entretien] La famille est devenue un
choix
», La Suisse, Genève, 23 septembre 1973, p. 4. ba. Propos recueillis