1
, dans la grande presse, dans la grande masse des
citoyens
dont il n’est pas exclu qu’avant longtemps on l’appelle à se prononce
2
x hommes. À vous entendre, Denis de Rougemont, le
citoyen
suisse, qui appartient à ce peuple heureux que vous décrivez, ne semb
3
sion française traduit dans le monde entier, à un
citoyen
suisse, à un pionnier de l’Europe unie. Ces qualités sont réunies dan
4
e invente la cité et la fonde sur le paradoxe des
citoyens
à la fois libres et responsables, mais elle invente aussi l’analyse c
5
européen dans l’enseignement, de créer de futurs
citoyens
de l’Europe. Actuellement, on a pu établir que la leçon d’instruction
6
Ces vérités sont assez dures à entendre pour les
citoyens
des grands pays qui nous entourent ; mais ils y viennent — par leur j
7
uvernement français imposait le droit de vote aux
citoyens
suisses. À cette époque, la Confédération était tombée sous la coupe
8
soixante-treize ans de “dictature” masculine, les
citoyens
suisses donneront-ils aux femmes ce qu’ils considèrent eux-mêmes comm
9
Instruction civique La participation réelle du
citoyen
aux affaires publiques en tant qu’acteur, non-spectateur, n’étant pos
10
nsieur, je ne suis pas votre sujet, mais un libre
citoyen
. C’est le fonctionnaire qui est au service des citoyens, et non l’inv
11
en. C’est le fonctionnaire qui est au service des
citoyens
, et non l’inverse. Vous semblez parfois le croire à cause de cette id
12
ord mes raisons d’en douter. I. Le savant et le
citoyen
Je lis sur la couverture d’un des ouvrages de prospective les plus
13
savant se veut observateur passif, il est mauvais
citoyen
, et dans la mesure où en tant que citoyen il refuse certains « faits
14
mauvais citoyen, et dans la mesure où en tant que
citoyen
il refuse certains « faits », veut changer les données d’un phénomène
15
volution du lien social et de la participation du
citoyen
au management de la cité ne seront pas les mêmes, d’ici là, aux États
16
pourtant le groupe le plus important des actuels
citoyens
de Genève. Certains traits typiquement genevois, comme la turbulence
17
ure étatique, enfin le degré de l’information des
citoyens
. 1. Les dimensions dans l’habitat ou le cadre urbain De la polis
18
ue digne du nom. Platon voulait une ville de 5000
citoyens
(plus ou moins 50 000 habitants), et Aristote une ville dont la super
19
. Les possibilités pratiques de participation des
citoyens
aux décisions politiques dépendent des niveaux communautaires existan
20
es ou nulles les possibilités de participation du
citoyen
: au mieux, il est appelé à voter tous les quatre ou sept ans pour un
21
le degré d’information pratiquement accessible au
citoyen
, et b) selon le mode d’action recherché par le moyen de l’information
22
e programmer. Dans le premier cas, elle rendra le
citoyen
mieux capable de situer un problème dans l’ensemble de la société où
23
suprêmes doit être en raison inverse de celui des
citoyens
, il s’ensuit qu’en général le gouvernement démocratique convient aux
24
e magistrats (prenant charge par rotation) que de
citoyens
: plus une communauté est petite, plus le gouvernement peut y être dé
25
ement contrôleur mais surtout contrôlable par des
citoyens
informés d’une manière adéquate. 3. Formules communautaires plural
26
cipation réelle à la vie communale, pour ceux des
citoyens
qui en ont envie, et des contacts quotidiens, désordonnés, livrés au
27
formant à leur tour l’ensemble des gouvernants et
citoyens
européens. Aux trois principaux niveaux de décision : 1. commune ; 2.
28
qui sont toutes nécessaires : 1. Information des
citoyens
(enseignement à tous les degrés, mass médias, banques d’informations,
29
it, en Grèce antique, l’affaire de l’ensemble des
citoyens
(environ le dixième de la population) réunis sur l’agora et à peu prè
30
semblées civiques pourront se tenir, sans que les
citoyens
se déplacent, sur une agora composée à distance et définie comme un c
31
de la Landsgemeinde suisse ou de l’assemblée des
citoyens
dans la cathédrale de Genève (Rousseau), modèles des conditions optim
32
’ont plus assez de compétences pour intéresser le
citoyen
, et elles en gardent trop pour le peu d’informations dont disposent l
33
nauté et des moyens techniques dont disposent les
citoyens
, mais aussi de la nature des tâches communes qu’une cité ou un groupe
34
ue étrangère, économique, fiscale, culturelle, le
citoyen
ne dispose d’aucun moyen d’intervenir activement ni de faire valoir s
35
iques concernant ce « domaine réservé » de chaque
citoyen
doivent être discutées et faire l’objet de choix mûris en connaissanc
36
és, entassements de solitaires anxieux et mornes,
citoyens
de nulle part et prochains de personne. Car c’est dans la rue, sur la
37
que les conditions mêmes d’une participation des
citoyens
aux choses publiques. ak. Rougemont Denis de, « Forteresse au cent
38
et rouages d’une société mécanisée, mais bien des
citoyens
actifs et responsables de leurs appartenances multiples mais concrète
39
CERN. Mais elle ne deviendra vivante que par les
citoyens
qui la vivront, conscients de leurs devoirs envers ce grand ensemble
40
constitue leur civilisation. Mais comment devenir
citoyen
d’un pays qui n’en est pas un, puisqu’il n’a pas encore de politique
41
t d’organes gouvernementaux ? Point d’Europe sans
citoyens
européens. Mais point de citoyens européens, sans une Europe politiqu
42
t d’Europe sans citoyens européens. Mais point de
citoyens
européens, sans une Europe politiquement constituée… Le moyen pratiqu
43
e chaque Européen : l’École ? Or l’École fait des
citoyens
pour ce qu’on veut, et trop souvent, pour ce que l’État lui demande.
44
que l’État lui demande. Longtemps elle a fait des
citoyens
pour la nation seulement. Nous avons payé cela par les deux guerres m
45
ales. Pourquoi ne ferait-elle pas dorénavant, des
citoyens
pour une Europe unie, équilibrée, et pour une nouvelle société, condi
46
ment, préparer tout le contraire d’hommes libres,
citoyens
de l’Europe et du monde : des producteurs — consommateurs disciplinés
47
autres, est entré dans la Confédération. Donc, un
citoyen
de cette ancienne principauté est automatiquement Suisse. La Suisse e
48
és, entassements de solitaires anxieux et mornes,
citoyens
de nulle part et prochains de personne. Car c’est dans la rue, sur la
49
que les conditions mêmes d’une participation des
citoyens
aux choses publiques. Petit veut dire aussi mesquin, prudent, hostile
50
e : l’exercice de responsabilités réelles par les
citoyens
. L’État-nation, trop petit, appelle la fédération ; trop grand, il ap
51
de toute évidence un statut de la personne et du
citoyen
absolument contraire au statut des sujets d’un État-nation, et que je
52
adhésion à la Suisse) sont ma patrie. En tant que
citoyen
du canton de Neuchâtel, je suis Suisse de nationalité. En tant qu’écr
53
e. En revanche, ce qui peut rassembler et dresser
citoyens
et citoyennes d’une région, c’est l’idée de prendre en main leurs des
54
he, ce qui peut rassembler et dresser citoyens et
citoyennes
d’une région, c’est l’idée de prendre en main leurs destinées, c’est
55
trois degrés, qu’il faut refaire l’éducation des
citoyens
, à partir des réalités, qui sont locales et régionales d’abord, puis
56
ogerie européenne. L’essentiel est de redonner au
citoyen
, dans la région et grâce à elle, un pouvoir de décision sur les probl
57
européen et composé non de spécialistes, mais de
citoyens
qui aient une vision générale de la vie, qui équilibrent les différen
58
tats-nations comme une entrave à l’engagement des
citoyens
dans leurs communautés naturelles régionales. Et les grands pouvoirs
59
t sur les décisions qu’ils auront à prendre comme
citoyens
de leur région et de l’Europe des régions fédérées. Mais il faut s’y