1 e… Mais ce n’est pas tout. Avec les trois sources classiques d’Athènes, de Rome et de Jérusalem, viennent confluer dans le haut Mo

2 n pas nationales : l’art roman et le gothique, le classique , le baroque, le romantisme, le positivisme, le symbolisme, le surréal

3 es de droite, des romantiques-surréalistes et des classiques plus ou moins conformistes, des progressistes et des conservateurs. O

4 précise en mille pages la distinction, désormais classique , entre nos deux termes. Pour Le Fur, « les deux notions de fédération

5 eur comparable (égal ou double) à celui des cités classiques d’Ionie, d’Attique ou de Sicile. La différence principale ne consiste

6 code, par le médium, dirait McLuhan. À la notion classique d’une mémoire catalogique, consciente, laborieusement stratifiée et p

7 ncore moins dans le sens religieux de l’éloquence classique de la chaire, quand elle parle du « salut des âmes », ou de l’« immor

8 s ont recréés dans des styles différents : Bédier classique , Mary baroque ; Bédier ramassé, condensé, pathétique au lyrisme conte

9 même objet. Exemples de a) ? L’exemple désormais classique de la fécondation d’une discipline par une autre est fourni par l’œuv

10 n pas nationales : l’art roman et le gothique, le classique , le baroque, le romantisme, le positivisme, le symbolisme, le surréal

11 es de droite, des romantiques-surréalistes et des classiques plus ou moins conformistes, des progressistes et des conservateurs, d