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u capitalisme bourgeois et au stalinisme. Comment
concevez
-vous, concrètement, la « révolution européenne » ? Il faut créer des
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icien du terme. Pouvez-vous préciser comment vous
concevez
les modalités de ce que vous appelez l’adhésion de l’Europe à l’Idée
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impôts d’après la langue. Nous avons parfaitement
conçu
tous ces mélanges et nous nous débrouillons, parce que nous avons des
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s, plus ceux de la petitesse physique. Il faut la
concevoir
, au contraire, comme la création d’une communauté SUI GENERIS, d’un m
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é, étatisé depuis des siècles, ne peut guère plus
concevoir
« Dieu » et la vie spirituelle que dans les cadres institutionnels de
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ux mouvements que la mentalité stato-nationaliste
conçoit
comme contraires : l’élan vers l’universel (communautaire, fédératif)
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ire qu’à la mort. L’amour-passion tel que nous le
concevons
a inspiré tous les arts en Europe, mais il ne vaut rien pour cette œu
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une définition moderne du diable, tel que vous le
concevez
? Pour m’exprimer en des termes empruntés à la physique moderne, je d
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il n’a fallu que neuf mois, à un jour près, pour
concevoir
, élaborer et mettre en œuvre la Constitution de 1848, qui transformai
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ives à l’antinomie productivité-écologie. On peut
concevoir
que toutes les options précédentes se ramènent à celle-ci, et qu’en f
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a suscitent et la rassemblent. Il peut maintenant
concevoir
sa profession dans le cadre et les perspectives combien plus vastes e
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États-nations. Malheureusement, beaucoup de gens
conçoivent
avec peine que c’est de la folie pure. Ils croient que l’État-nation
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la condition du régime fédéraliste tel que je le
conçois
— seul possible pour l’Europe réelle — et c’est aussi condition de la