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nationalisme dans l’élan révolutionnaire ». Et il
concluait
: Fidèles à la véritable tradition française, nous nous appuyons à l
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Unis sont des gouvernements fédéraux ». D’où l’on
conclut
en bonne logique qu’une seule et même réalité correspondant aux deux
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mpre l’unité nationale ». D’où le Français lettré
conclut
que Louis XIV et Napoléon, en centralisant l’Hexagone, l’ont sauvé de
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plus tard au hasard des batailles et des traités
conclus
dans la confusion générale. Inutile d’insister sur le fait que ces fr
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et s’il était vraiment un mythe de l’âme, faut-il
conclure
que c’est l’âme elle-même, la fonction émotive, dans l’homme contempo