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ples. Le mot fédéralisme est tabou à Strasbourg,
déclarait
il y a quelques années un représentant du Conseil de l’Europe : je co
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e philosophe allemand Karl Jaspers n’hésita pas à
déclarer
que l’Europe n’avait plus le choix qu’entre deux solutions : la balka
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assion, c’est autre chose. Tant qu’il n’est pas «
déclaré
», c’est comme s’il n’existait pas. Grâce à la littérature, la passio
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de Littré, et nous pourrions nous en tenir là, et
déclarer
le problème inexistant, s’il n’y avait dans le même Littré ces deux p
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évision, la politique se veut normative. L’une se
déclare
indifférente aux fins ; toute préférence ou parti pris ne pourraient
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reprenne », compare les promesses aux réalités et
déclare
à ses risques et périls : « Le Roi est nu. » Il n’en va plus de même
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st européen. Presque partout, ces ethnies brimées
déclarent
souffrir d’un sous-développement économique (par rapport à l’ensemble
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que la région à laquelle on les a rattachés soit
déclarée
« compétitive » avec la Ruhr, le Piémont ou les Midlands. Car une rég