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t tous ensemble. Aucun d’entre eux ne pourrait se
défendre
tout seul contre les puissants voisins. Ils n’ont pu défendre leurs p
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t seul contre les puissants voisins. Ils n’ont pu
défendre
leurs petites autonomies qu’en se groupant. Eh bien ! il faudrait app
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divisés par nations, chacune trop faible pour se
défendre
, qu’une ou deux de celles-ci deviennent plus ou moins communistes. Qu
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a toujours pire, car aucun de nos pays ne peut se
défendre
. Il n’est pas trop tard Mais ne pensez-vous pas qu’il est déjà t
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hnique. Cela tient au fait qu’elle s’est toujours
défendue
contre l’étranger. Dans cet état d’esprit, nous jouons perdants. Mais
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n vingt-cinq nations, chacune trop petite pour se
défendre
seule, et chacune acharnée à rester seule, au nom d’une souveraineté
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’une par l’autre ce qu’elles sont. Ce que je veux
défendre
, c’est donc, en fin de compte, un certain état de tension entre le ma
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lons dignes des seuls « chiens méchants » qui les
défendent
, clôtures agressives, lent déferlement du ciment et des agglomérés, t
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en vingt-huit nations chacune trop petite pour se
défendre
seule, et chacune acharnée à rester seule, au nom d’une souveraineté
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es petites unités accepteront de se fédérer. Pour
défendre
leurs libertés contre l’État. Juin 1973. 22. Tous les pays du monde