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est formidable. Tous les équilibres anciens sont
détruits
: prenez les villages qui éclatent, le paysage qu’on saccage. C’est m
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étiennes, qui se contredisent avec passion, ne se
détruisent
pas pour autant : entre leurs triomphes alternés, elles durent dans l
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mais réfléchi avant : l’industrie est en train de
détruire
la nature, par exemple ; cela nous pose une grande question : que vou
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igibles qui accusent les régionalistes de vouloir
détruire
la France, l’idéal national nommé France. Car Dandieu a montré mieux
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x industriels anarchistes, ceux qui exploitent et
détruisent
sans scrupule le sol, les eaux, l’atmosphère, et qui abusent cyniquem
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les règles, les conventions, la culture, et vous
détruisez
la possibilité même de toutes les formes d’amour. En ce sens, la révo
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t de grands ensembles « invivables » et coûteux à
détruire
, construits dans l’anarchie et sur la seule notion de rapport financi
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osant aimer que ce qui par d’autres est aimé, ils
détruisent
à coup sûr les amours qu’ils partagent. Ce paysage sublime est un pa
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u paysage. Les « nécessités » de la vie tendent à
détruire
les raisons de vivre. Mais que tient-on pour nécessaire ? Les maxima
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si parce qu’on sait que pour reconstituer l’humus
détruit
en quelques heures par les traxs ou recouvert par la marée montante d
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s seuls, sous forme de « coûts externes » (forêts
détruites
, pollution en tous genres, épuisement des ressources naturelles) taci