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l ne pût se traduire d’une manière authentique et
fidèle
que dans l’œuvre commune, non sous une forme discursive. Cette espèce
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dans l’élan révolutionnaire ». Et il concluait :
Fidèles
à la véritable tradition française, nous nous appuyons à la fois sur
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rd’hui plusieurs traductions, qui se donnent pour
fidèles
, des versions de Thomas, de Gottfried de Strasbourg, d’Eilhart d’Ober