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ons si différents de nos voisins ! Nous sommes si
fiers
de nos langues, nous affirmons qu’il faut les garder « pures », et no
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’a réussi. Dans ce sens, on ne peut pas être trop
fier
de l’Europe. Comment voyez-vous l’avenir ? Je crois au progrès. Je l’
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nnées, donc asservies. Les uns et les autres sont
fiers
de leur supériorité, soit qualitative (opérationnelle), soit quantita
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à Genève qui l’a publiée. Je n’en étais pas plus
fier
pour ça : je me voulais poète et seulement poète. L’hérédité des dons