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hoisir ! Ce choix doit s’opérer dans une certaine
finalité
; quelle finalité trouvez-vous à l’Europe ? Jusqu’à nous, voyez-vous,
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doit s’opérer dans une certaine finalité ; quelle
finalité
trouvez-vous à l’Europe ? Jusqu’à nous, voyez-vous, il fallait se bat
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éologiques d’autre part : souveraineté absolue et
finalités
courtes (intérêt national) ou utopiques (autarcie). D’où les dévastat
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oire : 1914-1918 au nom du nationalisme et de ses
finalités
bornées. Hiroshima et Nagasaki en vertu de calculs « politiques » et
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esponsabilité dans la cité ; que politique évoque
finalité
, c’est-à-dire détermination des fins et adaptation des moyens à ces f
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s relations humaines dans la cité, au service des
finalités
soit de la cité elle-même, pour les platoniciens et les totalitaires
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ige à avoir une politique. C’est-à-dire avoir des
finalités
pour l’existence et régler les moyens sur ces finalités. Or, jusqu’ic
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tés pour l’existence et régler les moyens sur ces
finalités
. Or, jusqu’ici, il n’y avait d’autre politique que cette finalité gén
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squ’ici, il n’y avait d’autre politique que cette
finalité
générale qu’est le profit, la croissance, l’augmentation quantitative
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érieux coup d’arrêt qui nous oblige à choisir nos
finalités
. Voilà pourquoi j’en viens à cette formule paradoxale : contraints de
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paradoxale : contraints de choisir librement nos
finalités
. Et pour la première fois, dans l’histoire de l’humanité, nous en avo
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sités devenaient autant de tours de Babel : leurs
finalités
s’évanouissaient, devenaient inexprimables dans la prolifération des
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plus nous connaissons Dieu. Spinoza : Éthique
Finalité
de l’Europe unie : la liberté, non la puissance Je pars de ce qui
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selon une hiérarchie de valeurs, selon certaines
finalités
communes telles que le respect de la personne et de sa liberté plutôt