1 e n’est pas à mon voisin, que j’irai apprendre ce genre de choses. Je pense que nous allons maintenant vers un état de la soc

2 ont pas arbitraires. Ils expriment des répulsions humaines . Supprimez des obstacles extérieurs et vous créez des obstacles intér

3 les États-nations sacralisés, entre une nécessité humaine des plus concrètes et le culte prolongé d’un mythe, il faut choisir !

4 s même de notre vie ? Oui, je crois à la personne humaine et à sa liberté. Pour surmonter les aliénations actuelles, il faut po

5 ie dans la cité, « l’art d’aménager les relations humaines  », et en Europe l’art d’équilibrer tous les contraires, toutes les te

6 estion le productivisme sans frein et sans mesure humaine  ; nous affirmions que ce productivisme traduisait une mentalité commu

7 elle du continent. Cette recherche d’un équilibre humain est d’ailleurs beaucoup plus révolutionnaire qu’on ne le pense. Elle

8 pense, par la force des choses, par des échanges humains , des relations de voisinage, en dépit des capitales, et, un beau jour

9 réation d’une communauté SUI GENERIS, d’un milieu humain où l’on se sent heureux de vivre, de travailler ou de ne rien faire,

10 plus encore que pour les touristes, unique en son genre et heureuse de l’être, et d’autant plus curieuse d’échanges. Vous vou

11 éfinir le style d’un musicien confessionnel et du genre pieux, ce qu’Honegger n’est à aucun degré. Je ne crois même pas qu’il

12 , Les Fondements de la musique dans la conscience humaine , tome I, p. 200, 188, 178. v. Rougemont Denis de, « Souvenirs d’Hon

13 saire, inévitable et naturel de toute l’évolution humaine . L’école, surtout secondaire — mais l’université n’était pas en reste

14 Ferdinand de Saussure, le père de nos « sciences humaines  », l’institut Rousseau, Jean Piaget, les Rencontres internationales,

15 ques » monstrueux, qui faisaient abstraction de l’ humain . 3. Conditionné par le respect de la Science, qui a pris la place qu’

16 on commode. Ce faisant, il se coupe de la mémoire humaine , de l’approche familière des symboles, que nous découvrons dans nos r

17 éritage judéo-chrétien) ; — la notion de personne humaine , autonome et chargée d’une vocation unique mais fondatrice de communa

18 e la nation. Gabriel Marcel, Les Hommes contre l’ humain Face aux totalitaires de toutes couleurs et aux démocraties plutôt d

19 ge de la liberté, c’est-à-dire de la personnalité humaine . L’homme est une personne, ou il n’est rien du tout ; ni race, ni rég

20 profit de l’étatisme. La révolution, comme l’être humain , est antiétatiste par essence. C’est la France, la première, qui a dé

21 t de l’histoire interprétée à partir des réalités humaines , et non plus des mythes stato-nationaux. (Voir aussi Sur la France de

22 elle est à la fois, par excellence, une « science humaine  », une « science politique » et une recherche interdisciplinaire ou t

23 i bien dans L’Amour et l’Occident sur le couple humain — création mutuelle de deux personnes dans le respect de l’autre — qu

24 aux États-Unis, par exemple. La moitié du malheur humain , en Occident, tient dans le terme d’adultère. Et cette catastrophe vi

25 er aussi le sens même de nos vies et des rapports humains , mariage compris. Car s’il y a aujourd’hui une crise du mariage, il y

26 tion, c’est livrer sans recours toute l’existence humaine à la bureaucratie anonyme d’une seule capitale : c’est-à-dire à perso

27 de l’homme , en tant qu’accroissement des risques humains , comme le montre la science, qui est à double tranchant. Ou bien, je

28 dans son principe créateur, de ruiner la personne humaine , et de tout réduire à un niveau inférieur d’énergie. Non, Hitler n’

29 de la communauté, dans le complexe des relations humaines , qu’on peut suivre à la trace les vocations, activées par un appel in

30 nt à ses lois. Mais à mesure que cet impérialisme humain se fait moins respectueux des dieux, tourne plus aisément les impérat

31 de la vie, tel est bien le résumé de l’évolution humaine — jusqu’à nous. Ayant dépassé la nature, l’homme tente de se dépasser

32 ilement imaginer qu’elle sera l’ère des relations humaines de plus en plus indépendantes des contraintes du sol et des définitio

33 té, science ou art de l’aménagement des relations humaines dans la cité, au service des finalités soit de la cité elle-même, pou

34 uels dynamismes anonymes, impersonnels, voire non humains . Or, dans nos études du futur (et surtout s’agissant de participation

35 ini des images projetées et de leur feed-back. Ce genre d’opération où l’imagination va et vient sans relâche du tout aux par

36 culturelle du même ordre. II. Les invariants humains La prévision ne prend son sens et sa valeur que pour autant qu’il

37 constamment menacé ou lésé par un autre invariant humain , l’égoïsme, qui nous rend insensibles aux désagréments que nous infli

38 d’un territoire défini ou de l’immédiate présence humaine , psychosomatique, « globale », il paraît probable que des discordance

39 leur intérêt. Car il est évident qu’une attitude humaine arrogante à l’égard de la nature, inconsciente de la finitude de ses

40 ique aux systèmes régnants. La faculté proprement humaine de refus des nécessités, de défi au destin, doit être à tout prix pré

41 que, et donner un sens possible, ultime, vraiment humain , à la mise en question globale du « siècle ». Point de participation

42 ionnaires), mais plutôt aux besoins de la société humaine , de la communauté humaine sous toutes ses formes : municipale, région

43 x besoins de la société humaine, de la communauté humaine sous toutes ses formes : municipale, régionale, nationale, continenta

44 ur anarchisant à l’état prétechnique des sociétés humaines . Il s’agit au contraire de le calculer, avec autant de soins et de pr

45 bordées d’arbres : partout s’affirme la présence humaine , son activité, sa mesure. Ni toundras, ni pampas, ni déserts. Point d

46 , il n’est pas de pays au monde que le gigantisme humain menace dans ses fondements plus que la Suisse. Car la Suisse tire sa

47 tradictoires, toujours à l’œuvre dans toute chose humaine , sont ici comme ailleurs la qualité de la vie et les conditions de vi

48 de l’Histoire, la seule forme pensable de société humaine . Et du même coup, elle tend à nous faire croire que cet État-nation a

49 se au profit matériel que l’honneur et le bonheur humain , et dont dépendra l’avenir non seulement de l’École, ou de l’Europe,

50 ordées d’arbres : partout s’affirment la présence humaine , son activité, sa mesure. Ni toundras, ni pampas, ni déserts. Point d

51 , il n’est pas de pays au monde que le gigantisme humain menace dans ses fondements plus que la Suisse. Car la Suisse tire sa

52  pax helvetica », votre contribution à l’aventure humaine . aq. Rougemont Denis de, « Je rentrais de l’espace… », 24 Heures,

53 gue une troisième forme de l’existence proprement humaine , qui est l’âme. Je ne prends pas ce mot dans le sens noble et vague q

54 saire, inévitable et naturel de toute l’évolution humaine . L’École, surtout secondaire — mais l’Université n’était pas en reste

55 s externes » (forêts détruites, pollution en tous genres , épuisement des ressources naturelles) tacitement pris en charge par