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iennent confluer dans le haut Moyen Âge la source
germanique
et la source celtique, la première apportant notamment le droit commu
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uences indo-européennes, gréco-latines, celtes et
germaniques
qui nous ont tous affectés, à doses variables, et qui ont éduqué notr
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la musique européenne se déplace vers les régions
germaniques
, Hanovre, la Saxe, Vienne, Bayreuth. C’est alors auprès des maîtres a
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de de combiner en contrepoint la source celte, la
germanique
, la scandinave, et leurs contradictions multipliées avec les trois pr
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ou juridiques, il y a la féodalité, les coutumes
germaniques
et celtiques, le droit romain, Dracon, Solon, qui ont inventé la libe
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rces européennes qui ont fait l’anglais : la base
germanique
, les apports scandinave puis franco-normand, une succession d’influen
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e constater qu’un même mot originel, grec, latin,
germanique
ou celtique, se retrouve dans tous nos États et montre bien ce qu’il
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nauté (héritage gréco-chrétien, coloré de valeurs
germaniques
et celtiques) ; —la fidélité, fondement du couple, du groupe et de la
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ecque, de l’Ecclesia chrétienne, des « libertés »
germaniques
et celtiques) ; — enfin le sécularisme, qui libère des contraintes ef
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leterre, en Espagne, moins en Allemagne. Mythes
germaniques
Votre analyse est-elle valable également pour la Suisse ? En Suiss
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nous sommes un peu tributaires de la civilisation
germanique
, où les hommes porteurs de l’épée étaient seuls aptes à la liberté, p
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ens qui portent un sabre. Si l’on sort des mythes
germaniques
de l’homme guerrier et si l’on entre dans la société actuelle, je déf
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ivité. En quoi seraient-ils supérieurs ? Ce mythe
germanique
serait donc à la base du refus des Suisses d’accorder l’égalité polit
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encore mêlées à notre vie, des vieilles coutumes
germaniques
. Justement la survivance de ce paysan, homme libre dont la liberté es
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tte liaison qui vient très directement de ce fond
germanique
, médiéval. Lorsque vous dites que les femmes « ont été l’agent princi
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es origines — grecque, romaine, judéo-chrétienne,
germanique
, celte, à quoi se sont ajoutées des influences arabes, slaves, et j’e
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flamande, la basque, la catalane, l’occitane, la
germanique
, l’italienne, l’arabe hier encore, et la française bien sûr. 14. L’a
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atines, chrétiennes et par là juives21, celtes et
germaniques
— et plus tard, à un moindre degré, arabes puis slaves — qui nous ont