1 votre livre : La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux , où vous écrivez : « L’Europe fédérée reste la seule solution pratica

2 nt, le citoyen suisse, qui appartient à ce peuple heureux que vous décrivez, ne semble pas très prêt à assumer les responsabili

3 e en jeu et La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux . Doté d’une somme de 25 000 marks, le prix Robert Schuman est remis

4 urquoi les seconds mariages sont-ils souvent plus heureux que les premiers ? C’est que les premiers n’étaient que des mariages-

5 hoses ? Il y a beaucoup de variétés et c’est très heureux , car cela constitue un frein à ce développement, à l’infini, du nivea

6 ns mon livre La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux , j’avais lancé l’idée de transformer la Suisse en district fédéral d

7 s problèmes sont les mêmes pour tous et tous sont heureux de se rencontrer en terrain neutre. Estimez-vous que vos idées sur la

8 é SUI GENERIS, d’un milieu humain où l’on se sent heureux de vivre, de travailler ou de ne rien faire, ce qui est sans doute le

9 re que pour les touristes, unique en son genre et heureuse de l’être, et d’autant plus curieuse d’échanges. Vous voulez être lib

10 par ses soins à collaborer avec le Centre. Une si heureuse initiative, et si rondement menée vers son destin européen, devait ce

11 eux-mêmes comme un droit inaliénable ? Il serait heureux que la réponse à cette question soit un “oui franc et massif”. À dire

12 istan et Iseut n’ont-ils pas été merveilleusement heureux  ? Ils ont été merveilleusement malheureux ! Comprenez-moi bien : je n

13 , p. V. ai. Il s’agit de Lettre ouverte aux gens heureux et qui ont bien raison de l’être, publié en 1971 chez Albin Michel.