1 s ou moins bien imprimé ensuite ou stocké dans la mémoire individuelle, dans cette banque d’informations qu’est la mémoire indi

2 uelle, dans cette banque d’informations qu’est la mémoire individuelle. Donc il semble que la fonction essentielle du livre, si

3 opéen ; Hitler et Staline en travers. Les deux mémoires Mais ces grands noms nous trompent. Harmonieux ou non, conscient o

4 e l’imagine. Nous sommes tous tributaires de deux mémoires , celle des peuples et celle des gènes. Celle des grandes bibliothèque

5 anks et du système des préjugés de notre siècle — mémoire externe. Et celle des chromosomes, des chaînes de l’ADN, des formules

6 ques ou sociaux, des complexes et de l’hérédité — mémoire interne. Quantité de chances culturelles et de handicaps en résultent

7 », fiction commode. Ce faisant, il se coupe de la mémoire humaine, de l’approche familière des symboles, que nous découvrons da

8 nt Denis de, « L’héritage culturel de l’Europe », Mémoires de l’Europe, Paris, Laffont, 1971, p. 1-4.

9 . Or, Sartre, comme on le sait maintenant par les mémoires de Simone de Beauvoir, ne s’était jamais intéressé le moins du monde

10 dium, dirait McLuhan. À la notion classique d’une mémoire catalogique, consciente, laborieusement stratifiée et pas toujours fa