1 1973)ay Je suis régionaliste pour deux raisons majeures  : — parce qu’il faut FAIRE L’EUROPE et qu’on ne la fera jamais sur la

2 1)x y Je pars de ce qui me paraît une évidence majeure  : il nous faut faire l’Europe afin de rester nous-mêmes, disons, pour

3 a Suisse. Tout serait parfait, n’était l’obstacle majeur que l’on dresse sans relâche et toujours à nouveau contre toute union

4 aussi des régulations naturelles, d’où le risque majeur de violer, d’une manière irréversible, les conditions de la vie sur T

5 ne s’y prêteraient pas. Mais d’autres phénomènes majeurs , très susceptibles de dominer la scène civique et politique d’ici deu

6 ques, économiques et culturelles devient le souci majeur et par suite la responsabilité de délégués des « bases », cellules ou

7 ple solitaire-solidaire. C’est l’un des problèmes majeurs de l’an 2000 ! — Options relatives aux libertés de la personne. L’ide

8 elle. Or les autos figurent l’emblème du paradoxe majeur de notre civilisation. Grâce à elles, l’homme des villes a retrouvé l

9 oethe, et peut-être bien notre mythe. L’événement majeur , la scène capitale du drame de la personne ainsi constituée se produi

10 eulement la cause de nos guerres, mais l’obstacle majeur à l’union du continent, qui est le seul moyen d’échapper à la colonis

11 dérer l’Europe et la reconnaissance de l’obstacle majeur à cette union que constituent les prétentions de l’État-nation à une

12 sance Je pars de ce qui me paraît une évidence majeure  : il nous faut « faire l’Europe » afin de rester nous-mêmes, disons,

13 contre l’Europe Ici, l’on bute sur l’obstacle majeur à toute union fédérale : l’État national de type jacobin et napoléoni