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tte formule, celle-là même qui pourrait servir de
modèle
à l’Europe. On rejoint la pensée de votre livre : La Suisse ou l’hist
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l’« État-nation », tel que Napoléon en a posé le
modèle
, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’est le culte du sol
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d’helvétisation de l’Europe : pensez-vous que le
modèle
suisse soit le meilleur et qu’il soit viable à l’échelle européenne ?
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e européenne ait trouvé son climat autant que son
modèle
en Suisse. L’anthologie de l’idée européenne réserve d’ailleurs une p
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hors de la tradition ecclésiastique, a fourni le
modèle
de la dialectique hégélienne, repris par Marx puis par Lénine avec le
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ans les écoles et les stages doivent élaborer des
modèles
applicables par toutes les associations membres. Nous avons touché di
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nous avons des petites communautés. En fait, mon
modèle
de gouvernement de l’Europe reproduit le Conseil fédéral suisse. Qu’e
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, le souverain étant le peuple. Cela me paraît un
modèle
parfaitement valable pour l’Europe et qui pourrait donner des résulta
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nstaller des agences fédérales européennes sur le
modèle
des départements fédéraux suisses. Chaque type de région, car il y au
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thème imbécile et obligatoire de Hollywood et le
modèle
collectif de cette romance que chacun s’imagine devoir vivre. Le mari
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utes les anciennes colonies se sont jetées sur ce
modèle
et l’ont imité. Cette structure est la clef des maux du monde actuel.
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ape Alexandre VI. La Suisse est-elle pour vous un
modèle
politique idéal ? Vous savez, la vie politique en Suisse est très loi
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ligne de barbelés électrifiés. Pour accréditer ce
modèle
délirant, on a truqué nos manuels d’histoire et de géographie. Décrét
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déralistes européens ne sauraient se contenter du
modèle
suisse transposé à l’échelle européenne, c’est-à-dire du passage prob
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les régimes stato-nationaux centralisés, dont le
modèle
fut l’œuvre de Napoléon s’inspirant des principes jacobins. La centra
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État totalitaire (réalisation presque parfaite du
modèle
napoléonien), la participation active est nulle, la participation pas
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épasser le stade des États-nations centralisés de
modèle
jacobin-napoléonien, elle offre une double possibilité de participati
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Est-ce à dire que le système décrit représente un
modèle
satisfaisant d’harmonisation des dynamismes civiques, qu’il n’y aurai
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le, non pas que j’aie des doutes sur la valeur du
modèle
— il est le meilleur que je puisse imaginer — mais du fait même qu’il
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ant la liberté elle-même. Un jeu parfait de notre
modèle
n’est pas souhaitable, car il rendrait la participation inévitable, o
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citoyens dans la cathédrale de Genève (Rousseau),
modèles
des conditions optimales de la participation civique et politique, da
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se du genre humain ou s’il présentera au monde le
modèle
d’une civilisation post-industrielle équilibrée, voilà qui sera déter
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des nationalistes. Elle présente l’État-nation de
modèle
napoléonien centralisé, uniformisé et territorialement borné, comme l
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’Europe. Qu’on ne pouvait unifier l’Europe sur le
modèle
hitlérien ou napoléonien, qu’on ne pouvait pas non plus faire l’Europ
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étérogènes. Très souvent, les gens disent que mon
modèle
est folie pure. Que c’est une complication ce que je veux faire. Alor
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tion. Socrate et Jésus-Christ sont les plus hauts
modèles
d’une contestation radicale, opposant la morale aux règles collective
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d’orienter notre vie affective, de lui offrir un
modèle
simple et pur, une grande image ordonnatrice de la passion. En restit
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ice de la passion. En restituant à notre temps ce
modèle
de l’amour-passion, dans sa grandeur première et drue, les philologue
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919 ; Mary résolument « anglo-normand » comme son
modèle
principal. Ce qui nous vaut une langue riche et fort habilement raval
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lées, souvent critiques et parfois polémiques, de
modèles
plus anciens, perdus pour nous. Bédier et Mary, comme Wagner, sont de
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arler de la crise de l’État-nation centralisé, de
modèle
jacobin et napoléonien, qui domine l’Europe depuis un siècle et demi,
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e par rapport aux réalités du monde actuel. Un
modèle
périmé L’État-nation, qui se dit souverain absolu, est manifesteme
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iversel et plus particulier que celui des nations
modèle
xixe siècle. À mesure que les frontières dites « historiques » ou «
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aut ouvrir le cadre stato-national et dépasser ce
modèle
périmé. Motifs ethniques, motifs économiques Mais le problème n
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errière l’argument de la « taille européenne » le
modèle
obsédant de l’État-nation napoléonien, défini par ses seules frontièr