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il paralyse la pensée politique non seulement des
nationalistes
et des jacobins en colère, mais de beaucoup des partisans sincères d’
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re inacceptable aux vrais croyants de la religion
nationaliste
. Quant à Nelson Rockefeller, il écrit : Pour moi, l’idée fédéraliste
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d’avoir une culture. Je ne crois pas aux cultures
nationalistes
, en dépit des manuels scolaires : il n’y a que des divisions tout arb
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ropéen, qu’il ne peut plus y avoir de perspective
nationaliste
. Les leçons types sont données dans les écoles et les stages doivent
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il y aura cet état de divisions nationales, voire
nationalistes
, des Européens, les Américains auront beau jeu d’intervenir dans ce c
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n fait que personne ne conteste — à part nos bons
nationalistes
. Enfin, il y a l’affaire des frontières naturelles, chères à nos maî
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pouvait être le remède « au mal centralisateur et
nationaliste
qui allait bientôt se révéler comme étant le cancer de l’Europe et du
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s un siècle par les manuels et par les historiens
nationalistes
. Le livre de Morvan Lebesque, Comment peut-on être Breton ?, donne un
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ons obligatoires par les manuels et les doctrines
nationalistes
, je n’imagine pas de principe méthodologique plus fécond, pour cette
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mps fou. En tout cas, cela ne se fera pas avec un
nationaliste
comme Churchill : il est dangereux. » Une Europe d’États-nations visa
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rt de nos pays, vers les années 1880, prépare des
nationalistes
. Elle présente l’État-nation de modèle napoléonien centralisé, unifor
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nos écoles secondaires. Si l’École a fait le mal
nationaliste
en alignant les esprits pour le compte de l’État — cependant que l’Ar
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e qu’elles préparent désormais non plus de petits
nationalistes
, sujets passifs d’un État sans visage, et rouages d’une société mécan
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es producteurs — consommateurs disciplinés et des
nationalistes
bornés dans leurs frontières (où même les fleuves s’arrêtaient pile,
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pposé à celui des régionalistes réactionnaires ou
nationalistes
locaux. Pour nous, la région était un des degrés de communauté dans l
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hommes politiques, ils sont des partisans ou des
nationalistes
. Mais j’ai le plus grand respect pour des hommes qui ont une vision p
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uropéenne, voire mondiale, et non plus uniquement
nationaliste
; informer les populations, former des responsables locaux et régiona