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tre leurs triomphes alternés, elles durent dans l’
ombre
de l’Histoire, dans la tradition, dans les livres, et dans l’inconsci
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larmes. Il n’y avait qu’elle au monde ! Puis une
ombre
innombrable vient à notre rencontre, nous entoure et nous engloutit,
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larmes. Il n’y avait qu’elle au monde ! Puis une
ombre
innombrable vient à notre rencontre, nous entoure et nous engloutit,
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et c’est la mort. ⁂ J’ai laissé jusqu’ici dans l’
ombre
cet aspect, trop souvent, trop facilement cité, du « beau conte d’amo
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que j’étais écrivain. J’avais lu un Paradis à l’
ombre
des épées, de Montherlant. J’ai écrit une critique que j’ai envoyée à