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ures, car l’infrastructure est le résultat de nos
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morales, spirituelles, religieuses, d’où procèdent des options économ
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es, spirituelles, religieuses, d’où procèdent des
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économiques. C’est exactement le contraire du marxisme. L’homme d’auj
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iques, dans ses conceptions religieuses, dans ses
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fondamentales, dans ses méthodes comme dans ses fins, notre culture a
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ste ! Je crois que la révolution part des grandes
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, d’une culture, des attitudes fondamentales de notre esprit. Et que l
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sera la définition et le choix des priorités, des
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prospectives dans tous les domaines de la vie publique : urbanisme et
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r les autres. Ainsi mis en demeure de choisir nos
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de base et nos orientations globales, nous aurons à considérer non pl
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iaisons jouent ». Posons d’entrée de jeu que de l’
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Europe unie ou non va dépendre tout le reste et d’abord l’identité eu
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uvoir exécutif. Mais dans aucune des décisions ou
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de politique étrangère, économique, fiscale, culturelle, le citoyen n
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, changent de nature : ils concernent les grandes
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morales qui intéressent la vie quotidienne, la santé, la prospérité,
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es perspectives d’avenir de tous et de chacun : —
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relatives à l’éducation : spécialisée ou générale ? — égalitaire ou s
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sélective ? — efficiente ou équilibrante ? etc. —
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relatives aux recherches : priorité à l’espace sidéral ou à l’espace
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rêts locaux, régionaux, continentaux, mondiaux. —
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relatives aux cadres de la vie : a) l’urbanisme ne peut être laissé n
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ibuable, électeur… Rien donc de plus immédiat aux
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morales et philosophiques d’une civilisation, d’une cité, que l’archi
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C’est l’un des problèmes majeurs de l’an 2000 ! —
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relatives aux libertés de la personne. L’identité et l’autonomie de l
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sés » feront l’effort d’information nécessaire. —
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relatives à l’antinomie productivité-écologie. On peut concevoir que
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tivité-écologie. On peut concevoir que toutes les
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précédentes se ramènent à celle-ci, et qu’en fin de compte ce que nou
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va désormais déterminer nos choix, et toutes nos
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politiques, au sens de stratégie de l’humanité. Qu’il me suffise d’un
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omme État, deux à cinq siècles au plus, selon les
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politiques des historiens20. Mais si l’on peut admettre que l’État fr