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pour moi le comble de l’élégance en technique, ce
petit
truc tout simple… Donc des appareils formés d’éléments extrêmement si
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lui dit : « Va au-devant de cet ange et prends ce
petit
livre ouvert qu’il a dans les mains, et quand tu l’auras pris, mange-
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transformatrice qui existe dans un livre, dans ce
petit
appareil qu’est le livre dont on ne sait jamais si c’est lui qui nous
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quelque chose qu’on vous impose ; il y a un très
petit
nombre de programmes, vous n’avez aucun choix. C’est fait pour un cer
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our le faire. À cet égard, je voudrais ajouter un
petit
renseignement. Ça touche au livre, vous allez voir. Je cherchais les
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ut-être s’en tirer pour le moment en diffusant de
petits
films que l’on peut faire passer sur la télévision, sur son poste per
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r sur la télévision, sur son poste personnel, des
petits
films qui sont comme l’équivalent du microsillon. C’est dans cette to
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équivalent du microsillon. C’est dans cette toute
petite
boîte, et chacun peut passer cela. C’est la cassette. C’est un pallia
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Cela, c’est l’information objective, détachée, le
petit
élément d’information. Mais si vous voulez de l’information au sens d
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e loisir, sérieux de la vie, qu’on travaillera un
petit
peu, pour s’assurer ce qu’il faut, pour avoir le temps de lire lentem
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et de transformer la France en une fédération de
petits
États. Aux jacobins on agita gravement la question du fédéralisme, et
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juifs, par le christianisme, germains, celtes, un
petit
peu arabes, un petit peu slaves. Nous avons tout cela en commun. Tous
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anisme, germains, celtes, un petit peu arabes, un
petit
peu slaves. Nous avons tout cela en commun. Tous les procédés de nos
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exemple, il n’y a pas de romans qui racontent des
petites
histoires qui se passent tous les jours. Il n’y a que des écrits reli
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ité en même temps. Il faut penser à l’égalité des
petits
États avec des grands. Il faut penser à une quantité de choses qui ré
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ntendant par là — je pense — le fait que c’est un
petit
pays, qui n’a qu’une petite armée, encore que ce soit la plus forte d
17
— le fait que c’est un petit pays, qui n’a qu’une
petite
armée, encore que ce soit la plus forte d’Europe !)… que ce n’est pas
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aient pas gagné tout de suite la guerre contre le
petit
Vietcong ? Pourquoi ? Ils n’ont pas osé utiliser toutes leurs forces,
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guerre du Vietnam. Voilà pourquoi je pense qu’un
petit
pays comme la Suisse aurait les plus grandes chances d’agir sur le pl
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torité. On la suivrait. On suivrait la Suisse, si
petite
qu’elle soit, parce qu’elle aurait une grande idée. La Suisse, si pet
21
rce qu’elle aurait une grande idée. La Suisse, si
petite
qu’elle soit, n’aurait pas seulement un rôle de parti minoritaire à j
22
es puissants voisins. Ils n’ont pu défendre leurs
petites
autonomies qu’en se groupant. Eh bien ! il faudrait appliquer cette f
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sur la réserve, restons bien modestes dans notre
petit
coin, ne nous rendons pas ridicules en proposant de grandes choses… »
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s concrètes de notre temps, puisqu’à la fois trop
petit
pour agir à l’échelle mondiale et trop grand pour permettre une parti
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ologue à celui que la Suisse a résolu avec ses 25
petits
cantons souverains. La différence des superficies était certes import
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que pratiquement l’Europe d’aujourd’hui est plus
petite
que ne l’était la Suisse à l’époque où elle s’est fédérée ; et les di
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urs. Il conviendra, d’autre part, de maintenir de
petites
communautés, lesquelles sont les seules à même de protéger l’individu
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ns nous permettront de revenir à des entités plus
petites
, de recréer des communautés centrées. Votre fédéralisme dérive direct
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es mœurs, le rythme de la vie des gens : tous les
petits
magasins ont fait faillite les uns après les autres ; ils ont dû se m
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de politique économique et cela ne couvre qu’une
petite
partie de l’Europe. Il faudra bien un jour qu’il y ait une agence féd
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tâches dépassent les cantons, d’autres sont trop
petites
et doivent rester aux communes. Il faut qu’ils vivent, encore mieux q
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nous nous débrouillons, parce que nous avons des
petites
communautés. En fait, mon modèle de gouvernement de l’Europe reprodui
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la fin du gigantisme des villes, la recréation de
petites
unités de 25 000 ou 50 000 habitants, avec leur vie civique, c’est un
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l’on prend comme base les régions, qui sont plus
petites
que les États, et le continent, qui est beaucoup plus grand, on aura
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vre : une compagnie de théâtre d’amateurs et deux
petits
chœurs à Neuchâtel, un grand chœur et une fanfare à La Chaux-de-Fonds
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t Paul Martin, plutôt rajeuni me semble-t-il (les
petites
différences d’âge s’effacent avec le temps). Il vient, de concert ave
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urope divisée en vingt-cinq nations, chacune trop
petite
pour se défendre seule, et chacune acharnée à rester seule, au nom d’
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éation sont les universités, à la renaissance les
petites
cités du Nord de l’Italie, des Flandres, de la Bourgogne et de la Rhé
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ie. On sait le rôle merveilleusement fécondant de
petites
villes comme Tubingue, Iéna, Weimar ou Dresde dans l’Allemagne romant
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ys qui nous entourent —, tout s’est fait dans nos
petites
métropoles cantonales, dans ces foyers qui l’un après l’autre se sont
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égions. La fédération au-dessus des nations, trop
petites
pour assurer les tâches mondiales ; et les régions au-dessous des nat
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nser et presque tout ce que nous voyons sur notre
petit
coin de la planète, entre le sol et les nuages. La culture des Europé
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; ni de savoir l’histoire de l’art. Les grands et
petits
bourgeois les plus ignares, les paysans, les ouvriers ont des réflexe
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smet la sagesse des nations par les proverbes. Le
petit
citadin d’aujourd’hui, prisonnier d’un « ensemble » où chacun se sent
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culturelle, mais politique. Aliénor d’Aquitaine —
petite
fille du premier troubadour, qui épousa d’abord un roi de France, pui
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notre insu. Autrement dit, il faudrait une bonne
petite
psychanalyse de la santé des Suisses… z. Rougemont Denis de, « [E
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çais, ou Suisses, ou Danois, ou Belges, donc trop
petits
. Il nous manque la conscience de former un ensemble. C’est surtout qu
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fier, par le dollar. Aucun de nos pays, tous trop
petits
, ne pourra bientôt plus nous raconter sa petite histoire d’indépendan
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p petits, ne pourra bientôt plus nous raconter sa
petite
histoire d’indépendance. Mais alors sur quelle base voulez-vous faire
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péocentrisme ? Je ne donne une place ni grande ni
petite
à l’Europe : je dis ce qu’elle est parmi les vingt-deux ou vingt-troi
51
ien d’entièrement imprévu ; toutes nos grandes ou
petites
inventions dans tous les ordres sont nées de rêves, et l’examen des r
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chambre, une auto ou une cabine de transport plus
petites
qu’un homme, une ville plus petite qu’une maison, — et d’autre part,
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ransport plus petites qu’un homme, une ville plus
petite
qu’une maison, — et d’autre part, la tendance inverse au gigantisme :
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seules peuvent le faire. L’État-nation était trop
petit
pour jouer un rôle à l’échelle mondiale : la fédération européenne pe
55
ion dépend directement la participation : au très
petit
État correspond le maximum de liberté civique, mais « plus l’État s’a
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général le gouvernement démocratique convient aux
petits
États », à ceux où « le peuple est facile à rassembler » (Contrat soc
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e la participation qu’illustrent les exemples des
petits
cantons suisses à Landsgemeinde, ou de Genève, et avant eux des cités
58
tation) que de citoyens : plus une communauté est
petite
, plus le gouvernement peut y être démocratique ; plus un État est pop
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principe admis, on s’aperçoit que l’existence du
petit
État ou communauté de participation maximale, et son bon fonctionneme
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d’unités de base ou communes de dimensions assez
petites
pour qu’en leur sein la participation civique soit aussi directe et a
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enu impraticable et impensable (sauf dans de très
petits
cantons suisses) avec l’avènement des grandes villes de la société ab
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d’informations dont disposent leurs maires. Trop
petites
à la campagne (étouffantes), trop grandes dans les régions urbaines (
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aux États-nations, à la fois trop grands et trop
petits
, leur procès n’est plus à faire : le verdict a été prononcé à deux re
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u fréquents (élections, référendum). Pour un très
petit
nombre s’ajoute l’appartenance à un conseil (municipal, départemental
65
urvolez à basse altitude les gros villages et les
petites
villes du Plateau suisse ou des larges vallées alpestres des Grisons,
66
journaux), sous les portiques où l’on discute par
petits
groupes ; et enfin, au milieu de la place, le Marché, où s’affrontent
67
’être et les conditions mêmes de ses libertés des
petites
dimensions du pays, et surtout de ses communautés. Les sociologues le
68
cation de la Suisse est de revaloriser ce qui est
petit
contre le gigantisme, sauvant ainsi son âme et ses paysages, en même
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pays réel, peuplé de vignerons et d’artisans, de
petits
commerçants et de riches retraités. Un pays a besoin de communication
70
ste ? (On sait que l’Oural, chaîne de collines et
petit
fleuve affluent de la Volga, en tous points comparables à la Ruhr, es
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en sorte qu’elles préparent désormais non plus de
petits
nationalistes, sujets passifs d’un État sans visage, et rouages d’une
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d’autant plus grande, voire excessive pour notre
petit
staff, que les appuis financiers nous ont été plus chichement mesurés
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me. C’est-à-dire une union librement consentie de
petits
groupes, de communes ou d’entreprises se liant par régions ou provinc
74
tiers de la France, une partie de la Belgique, un
petit
bout de l’Italie. Cet ensemble ne correspond à aucun de nos États-nat
75
ique mais à un ensemble mondial qui recouvre deux
petites
parties de la France, la moitié de la Suisse, etc. Je fais également
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urvolez à basse altitude les gros villages et les
petites
villes du Plateau suisse ou des larges vallées alpestres des Grisons,
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journaux), sous les portiques où l’on discute par
petits
groupes ; et enfin, au milieu de la place, le marché, où s’affrontent
78
’être et les conditions mêmes de ses libertés des
petites
dimensions du pays, et surtout de ses communautés. Les sociologues le
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cation de la Suisse est de revaloriser ce qui est
petit
contre le gigantisme, sauvant ainsi son âme et ses paysages, en même
80
participation des citoyens aux choses publiques.
Petit
veut dire aussi mesquin, prudent, hostile à toute espèce de grandeur.
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ge, aujourd’hui, figure au programme de licence :
petit
exemple d’une vaste évolution. L’Institut universitaire d’études euro
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n d’une différenciation sécurisante, le besoin de
petites
communautés où la participation civique redevienne possible. Différ
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e forme politique déjà inadéquate, à la fois trop
petite
et trop grande par rapport aux réalités du monde actuel. Un modèle
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i se dit souverain absolu, est manifestement trop
petit
pour jouer un rôle réel à l’échelle planétaire. Aucun de nos vingt-hu
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catastrophes écologiques. Le seul remède aux trop
petites
dimensions ne serait-il pas la création d’agences fédérales européenn
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tés réelles par les citoyens. L’État-nation, trop
petit
, appelle la fédération ; trop grand, il appelle les régions. Ces deux
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Aoste, de l’Alsace, de la grande Occitanie, ou du
petit
Jura (encore bernois) ; les révoltes ethniques qui couvent et parfois
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it aux défauts de la centralisation ceux des trop
petites
dimensions. Il s’agit simplement de résoudre les principaux problèmes
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Europe divisée en vingt-huit nations chacune trop
petite
pour se défendre seule, et chacune acharnée à rester seule, au nom d’
90
ie. On sait le rôle merveilleusement fécondant de
petites
villes comme Tubingue, Iéna, Weimar ou Dresde dans l’Allemagne romant
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ent quels sont les avantages du grand État sur la
petite
communauté, on n’en trouve qu’un : le grand État peut faire de grande
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el, sécurité, créativité, densité culturelle, les
petits
États figurent régulièrement en tête de liste, et les grands en queue
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pe vivante et créatrice est née du rayonnement de
petites
cités, d’écoles locales, jamais de « nations » en tant que telles. Qu
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la taille ? Je vais vous le dire : c’est le plus
petit
. En tant qu’État souverain, un et indivisible, la France est trop gra
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mêmes conclusions : tout appelle aujourd’hui les
petites
unités. Et cela n’est pas contradictoire avec la tendance qui nous po
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orte à la fédération du continent. Car seules les
petites
unités accepteront de se fédérer. Pour défendre leurs libertés contre
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it aux défauts de la centralisation ceux des trop
petites
dimensions économiques. Il s’agit simplement de résoudre les principa
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La participation, l’autogestion civique exige de
petites
communautés, que Platon imaginait déjà pour sa cité idéale. Un Con
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ême très loin de nos problèmes actuels réels. Une
petite
phrase de Simone Weil m’a frappé : « L’orgueil national est loin de l