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it possible de l’établir ? J’admets qu’il y a une
pluralité
d’allégeances, civiques, politiques, culturelles, idéologiques et rel
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frontières fonctionnelles, tenant compte de cette
pluralité
des allégeances en se fractionnant en un certain nombre d’« agences »
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tionales qui nous diversifient vraiment, c’est la
pluralité
des écoles de pensée et des styles de vie dans chaque nation. Supprim
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exe, pétrie de contradictions, qui sont dues à la
pluralité
de ses origines — grecque, romaine, judéo-chrétienne, germanique, cel
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des assemblées à distance : je veux parler de la
pluralité
des types de régions et des associations sans base territoriale. Nous
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posables ni juxtaposables ; ce qui entraînera une
pluralité
de « capitales », « métropoles », « chefs-lieux », c’est-à-dire de ce
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le. Au fond, nous vivons dans ce que j’appelle la
pluralité
des allégeances. L’utopie, c’est vouloir que toutes mes allégeances s
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tionales qui nous diversifient vraiment, c’est la
pluralité
des écoles de pensée et des styles de vie qu’on retrouve à divers deg
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e d’exercer en commun telle ou telle fonction.
Pluralité
des allégeances Une telle organisation, qui correspondrait enfin a
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ut des sujets d’un État-nation, et que je nomme :
pluralité
des allégeances. Cela veut dire : relever d’une pluralité d’ensembles
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é des allégeances. Cela veut dire : relever d’une
pluralité
d’ensembles fonctionnels, qui ne sont pas de même aire territoriale n
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et je sais très bien auxquelles je cotise. Cette
pluralité
d’allégeances ne me pose aucun problème ni théorique ni pratique. Si
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r jusqu’au bout de ses ambitions monopolistes. La
pluralité
des allégeances est donc la condition du régime fédéraliste tel que j
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uté politique. Fédéralisme et Œcuménisme La
pluralité
des allégeances implique la reconnaissance d’une grande diversité dan