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ne peut pas fermer ses frontières aux vents ou la
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du Rhin. La Suisse est destinée à être au cœur de l’Europe et elle do
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faudrait arrêter — la tempête, les épidémies, la
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de l’air et de l’eau — mais gêne tous les mouvements et vexe tout le
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nos calculs. Nous parlons — enfin ! — tous de la
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de la nature, l’un des grands problèmes politiques du siècle, en effe
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effet. Mais nous ne prenons pas garde aux autres
pollutions
, celles qui sont spirituelles. Et quand on ne tient plus compte du di
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texteai, Louis Pauwels ose écrire, à propos de la
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et des gens savants qui s’en occupent : « Je donne aux inventeurs de
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es sous-marines et champion de la lutte contre la
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des océans, M. Pauwels répond, dans de nombreuses interviews, qu’il n
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nce des réalités écologiques et des dangers de la
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, beaucoup plus générale qu’on osait l’espérer, surtout dans la jeunes
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ut la traduction d’une découverte scientifique en
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universelle. On ne peut plus s’en remettre au Temps pour adapter, rod
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e garages, de stations d’essence au service de la
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universelle. Or les autos figurent l’emblème du paradoxe majeur de no
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qui pensent court et bas et nous jettent dans la
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au nom de la rentabilité, mais ceux qui font passer avant le profit d
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ur du Léman, une région écologique définie par la
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du lac (affluents, usines, riverains), l’aérodrome de Cointrin, la ce
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us forme de « coûts externes » (forêts détruites,
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en tous genres, épuisement des ressources naturelles) tacitement pris
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ères. Celles-ci n’arrêtent ni les tempêtes, ni la
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, ni rien de ce qu’il faudrait arrêter, mais seulement ce qu’il faudra
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ur du Léman, une région écologique définie par la
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du lac (affluents, usines, riverains), l’aérodrome de Cointrin, la ce
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ssants devant l’inflation, le chaos monétaire, la
pollution
, la famine dans le tiers-monde, l’urbanisation sauvage, les problèmes
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e plus souvent. L’empoisonnement des rivières, la
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des lacs, la destruction des sites, des forêts, ce sont des choses im
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les frontières politiques n’existent pas pour la
pollution
. Les poissons sont les mêmes des deux côtés du Léman et ils y crèvent